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Lettre ouverte à l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec

Dernière mise à jour : 1 sept. 2022

Ordre des infirmières et infirmiers du Québec

4200, rue Molson, Montréal (Québec). H1Y 4V4


Objet : Manquements à la mission de protection du public?


Madame, Monsieur,

Cette communication a pour but de donner suite au courriel envoyé par l’Ordre à ses membres en aout 2021. Ce courriel consistait en un rappel de la syndic aux infirmières et aux infirmiers du Québec de respecter au quotidien leur code de déontologie et de faire preuve d’intégrité. En tant qu’infirmières membres de l’Ordre souhaitant respecter ce code de déontologie qui est au cœur de la pratique de notre profession, nous ressentons le besoin d’émettre ce même rappel aux instances de gouvernance de l’OIIQ.


Permettez-nous de vous faire part de nos sérieuses préoccupations en lien avec l’exécution de votre mission de protection du public.


Soulignons d’abord que nous ne remettons pas en doute l’utilité de la vaccination comme moyen de promotion et de protection de la santé publique. Nous souhaitons, en revanche, à la lumière des connaissances actuelles, qu’un peu de recul soit pris sur la campagne vaccinale contre la COVID-19.


Plusieurs sujets seront soulevés. Tout d’abord, nous voulons insister sur le statut expérimental des vaccins contre la COVID-19, sur les incitatifs à la vaccination de plus en plus coercitifs ainsi que sur l’importance du consentement libre et éclairé. Ensuite, nous aborderons la vaccination des enfants et les effets secondaires des injections. Nous terminerons en abordant le sujet de l’obligation vaccinale des infirmières et infirmiers.

Thérapie expérimentale


La thérapie vaccinale proposée par l’industrie pharmaceutique est encore au stade expérimental. Les essais cliniques de Pfizer-BioNTech doivent se terminer le 2 mai 2023[1], ceux de Moderna le 27 octobre 2022[2], ceux d’AstraZeneca le 14 février 2023[3] et, enfin, ceux de Johnson & Johnson le 2 janvier 2023[4]. Il est donc clair que la population participe en ce moment à des essais cliniques, mais sans malheureusement en être informée. De plus, il s’agit non seulement de nouveaux vaccins, mais aussi d’une nouvelle technologie.


Ce qui est encore plus préoccupant dans ce contexte, c’est le peu d’information donnée à la population ainsi qu’aux divers professionnels de la santé sur ces nouvelles technologies. Force est de constater que l’information la plus accessible pour le grand public est souvent incomplète, orientée, tendancieuse ou manquante. Prenons par exemple la trousse d’information fournie par le gouvernement du Québec et que l’OIIQ a partagée à ses membres afin d’informer le public (au moment d’écrire ces lignes, cette trousse était toujours disponible sur le site du gouvernement du Québec). Nous pouvons y lire ceci : « À ce jour, aucun effet indésirable grave n’a été identifié avec les vaccins à base d’ARN. D’autres problèmes, qui n’ont aucun lien avec le vaccin, peuvent survenir par hasard[5]».


Est-il possible que cette affirmation ait été écrite de façon prématurée? Est-il possible de prétendre, hors de tout doute raisonnable, que le vaccin n’engendre aucun effet secondaire grave? Pensons seulement aux risques de thromboses, de péricardites et de myocardites clairement évoqués dans l’annonce de la Food and Drug Administration (FDA) du 23 août 2021. La FDA nous informait déjà que:


De plus, la FDA a mené une évaluation rigoureuse des données de surveillance de la sécurité post-autorisation concernant la myocardite et la péricardite après l'administration du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 et a déterminé que les données démontrent des risques accrus, en particulier dans les sept jours suivant la deuxième dose. Le risque observé est plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans que chez les femmes et les hommes plus âgés. Le risque observé est le plus élevé chez les hommes de 12 à 17 ans. Les données disponibles provenant d'un suivi à court terme suggèrent que la plupart des individus ont eu une résolution des symptômes. Cependant, certaines personnes ont eu besoin d'un soutien en soins intensifs. On ne dispose pas encore d'informations sur les effets potentiels sur la santé à long terme. Les informations de prescription de Comirnaty incluent un avertissement sur ces risques. [6]


Ces informations ont été signalées et ajoutées après la prolongation de l’autorisation temporaire d’urgence des vaccins[7]. N’est-ce pas là le signe que nous continuons à découvrir l’impact de cette nouvelle technologie sur le corps humain? Nous voyons bien que les fabricants de vaccins sont encore en phase de collecte de données.


Est-il juste de penser que la trousse d’information fournie par le gouvernement québécois et diffusée par l’OIIQ manquait d’information? Peut-être direz-vous qu’au moment où cette trousse a été écrite, l’information n’était pas encore disponible. Mais le principe de précaution n’aurait-il pas dû prévaloir? N’aurait-il pas été plus juste d’informer la population de l’absence de connaissances sur les risques à long terme, comme mentionné dans les monographies de l’époque? Par exemple, dans la monographie de Pfizer, on pouvait lire ceci : « L’évaluation de l’innocuité est toujours en cours chez les participants de l’étude 2 [8]». Rappelons que selon le Code de déontologie des infirmières et infirmiers, « l’infirmière ou l’infirmier doit s’abstenir de délivrer à quiconque et pour quelque motif que ce soit un certificat de complaisance ou des informations écrites ou verbales qu’il sait erronées[9]. »


Pouvons-nous donc déduire que l’information était incomplète lorsque la majorité des Québécois ont été injectés? Dans un souci de préserver un lien de confiance entre la population et la profession infirmière, il importe de transmettre l’information la plus transparente possible au public. Comment pouvons-nous désormais répondre aux questions et aux inquiétudes d’une personne qui se sent trompée en apprenant avoir fait l’objet d’un essai clinique sans en avoir été informée? Comment justifier que des effets secondaires graves sont maintenant reconnus par les fabricants et déclarés sur les registres officiels des effets secondaires des vaccins, alors que le gouvernement et les médias ont affirmé qu’il n’y en avait pas? Comment expliquer aux gens qui sont allés consulter à la suite de manifestations cliniques inhabituelles pourquoi ils ont été ignorés alors que le vaccin est toujours en phase 3 des essais cliniques[10] ? Les nouvelles monographies qui ont vu le jour après le 16 septembre 2021 nous en apprennent un peu plus sur les effets secondaires possibles :


« De très rares cas de myocardite et/ou de péricardite à la suite de la vaccination par le SPIKEVAX ont été signalés dans le cadre de l’utilisation après l’autorisation. Ces cas se sont produits plus fréquemment après la deuxième dose et plus fréquemment chez les adolescents et les jeunes adultes. L’apparition des symptômes a généralement été observée dans les quelques jours qui suivaient l’administration du SPIKEVAX. Les données disponibles sur le suivi à court terme semblent indiquer que les symptômes disparaissent chez la plupart des personnes, mais on ne dispose pas de données sur les séquelles à long terme[11] »

.

Les personnes qui se soumettent à l’injection ne disposent que de très peu d’informations, voire aucune, sur la balance bénéfices/risques de ce nouveau traitement médical expérimental. Des personnes vaccinées avec qui nous avons discuté nous ont confirmé n’avoir jamais reçu ni signé de formulaire de consentement à l’expérimentation comme prévu aux articles 20 et 24 du Code civil du Québec[12]. La feuille informative remise après la vaccination contient très peu d’informations et aucune référence n’est donnée sur les effets secondaires graves ni sur la façon de déclarer ces événements.


Comme les vaccins sont toujours à l’étude et que pour l’instant, les données et les études sont majoritairement fournies par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes; la fiabilité et l’objectivité de ces données sont donc grandement questionnables. Il serait d’autant plus important de faire preuve d’une extrême vigilance dans notre rôle d’infirmières et infirmiers afin de donner l’information la plus juste possible et d’ainsi favoriser le consentement libre et éclairé de la population, le tout, afin de préserver le lien de confiance entre elle et nous.


Rappelons également que notre code de déontologie nous demande ceci :


"7 L’infirmière ou l’infirmier doit tenir compte de l’ensemble des conséquences prévisibles que peuvent avoir ses recherches et travaux sur la société, la vie, la sécurité et la santé des gens.

7.2. L’infirmière ou l’infirmier qui entreprend ou qui collabore à une recherche doit aviser le comité d’éthique de la recherche ou toute autre instance appropriée lorsque la recherche ou son déroulement lui semble non conforme aux principes scientifiques et aux normes éthiques généralement reconnus.

7.3. L’infirmière ou l’infirmier doit refuser ou cesser de collaborer à toute activité de recherche dont les risques pour la santé des sujets lui semblent hors de proportion par rapport aux avantages que ceux-ci pourraient retirer de la recherche ou par rapport aux avantages que la prestation de soins usuels pourrait leur procurer, le cas échéant"[13].


De plus, les citations suivantes de Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, illustrent bien le contexte délicat de la situation :

« Au cours des deux dernières décennies, l’industrie pharmaceutique s’est éloignée de son objectif initial de découvrir et de produire de nouveaux médicaments utiles. Désormais principalement une machine de marketing pour vendre des médicaments aux bénéfices douteux, cette industrie utilise sa richesse et son pouvoir pour coopter toutes les institutions qui pourraient se dresser sur son chemin, y compris le Congrès américain, la FDA, les centres médicaux universitaires et la profession médicale elle-même. [14] »


« Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou de directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. [15] »


Dans le même sens, voici une citation du professeur Peter C. Gotzsche, auteur du livre Remèdes mortels et crimes organisés :


« Toutefois, plusieurs moyens permettent à une compagnie pharmaceutique de manipuler ses essais cliniques pour garantir que les résultats seront utiles à sa force de vente, peu importe ce qu’une approche scientifique honnête aura démontré. Les manipulations sont courantes et graves au point où l’un de mes collègues a déclaré qu’on devait tenir les rapports de recherche publiés par l’industrie pour rien d’autre que des publicités pour mousser ses médicaments.[16] »


Serait-il alors exagéré de croire que certains biais auraient pu se glisser dans les données des compagnies pharmaceutiques afin de faciliter la commercialisation de leurs produits? À la lumière de ce que rapporte un article du British Medical Journal intitulé « Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d'intégrité des données dans l'essai vaccinal de Pfizer »[17], ces craintes nous semblent justifiées. Nous pouvons y lire ceci : « Les révélations de mauvaises pratiques dans une société de recherche sous contrat aidant à mener à bien l'essai pivot du vaccin covid-19 de Pfizer soulèvent des questions sur l'intégrité des données et la surveillance réglementaire. »


Malheureusement, tous les avis et toutes les données allant à l’encontre du discours unique en faveur de la vaccination sont automatiquement bannis ou censurés. On n’a qu’à penser à la récente lettre du Dr René Lavigueur dans La Presse, censurée quelques heures après sa parution[18].


En partageant à ses membres, le 2 septembre dernier, via une infolettre, le document du Conseil interprofessionnel du Québec intitulé « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19 : Quelle liberté d’expression pour les professionnels »[19], l’Ordre ne contribue-t-il pas à cette omerta? Une infirmière qui prend connaissance de cet article peut-elle se sentir autorisée à émettre une opinion ou à avoir des questionnements sur la pertinence et la justesse des positions du gouvernement et de l’OIIQ? Ce document explique clairement qu’un professionnel ne peut exprimer librement ses opinions concernant la gestion de la crise sanitaire sous peine de s’exposer à des mesures disciplinaires : « Dans cet article, nous discuterons de l’impact de la crise de la COVID-19 sur les obligations professionnelles et déontologiques et analyserons certaines décisions disciplinaires qui ont mis en cause des comportements de certains professionnels dans le contexte de la pandémie. » Dans ce même document, il est pourtant clairement mentionné ceci : « La Cour suprême rappelait que les valeurs mises en balance sont, d’une part, l’importance fondamentale d’une critique ouverte et même vigoureuse de nos institutions publiques et, d’autre part, la nécessité d’assurer la civilité (…) ” ». Il est difficile de savoir alors si la critique est permise ou condamnable.


Le président Luc Mathieu nous parle « d’esprit scientifique » et de « décisions professionnelles qui s’appuient sur la science » dans une vidéo envoyée par courriel aux membres de l’OIIQ le 22 octobre dernier[20]. Permettez-moi ici de préciser que la science n’est pas un dogme. L’absence de débat anéantit complètement tout le narratif qui dit s’appuyer sur la science. Comme l’a dit le généticien Albert Jacquart : « La démarche scientifique n’utilise pas le verbe croire; la science se contente de proposer des modèles explicatifs provisoires de la réalité; et elle est prête à les modifier dès qu’une information nouvelle apporte une contradiction.[21] »


Pourquoi alors empêcher les infirmières et les infirmiers, qui ont une formation scientifique avec des connaissances solides en biologie, d’émettre des questionnements, des doutes ou même des réserves sur les présents enjeux bio-psycho-sociaux découlant de la pandémie de COVID-19, et plus particulièrement sur la campagne de vaccination?


Par ailleurs, il y a un manque flagrant de transparence. Il est pourtant clairement écrit dans les monographies des produits :


« Une autorisation provisoire de l’utilisation de VACCIN CONTRE LA COVID-19 DE PFIZER-BIONTECH a été délivrée en application de l’article 5 de l’arrêté d’urgence concernant la COVID-19. Les patients doivent être avisés de la nature de l’autorisation. Cette autorisation provisoire est assortie de conditions que le détenteur de l’autorisation de mise sur le marché doit respecter afin de garantir en tout temps la qualité, l’innocuité et l’efficacité du produit [22] ».


Pourtant, comme mentionné ci-dessus, toutes les personnes que nous avons questionnées n’ont jamais été informées de cette nuance. De plus, nous n’avons jamais entendu un média en faire mention.

Il est donc juste de constater que la grande majorité ignore avoir participé à un essai clinique puisque la thérapie est toujours en phase 3. Les fabricants le soulignent pourtant clairement dans leurs documents :


«Afin d'atténuer les risques liés à l'utilisation de ce produit non approuvé dans le cadre de l'EUA et d'optimiser les avantages potentiels du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19, les éléments suivants sont requis. L'utilisation du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 non approuvé pour l'immunisation active afin de prévenir le COVID-19 dans le cadre de cet EUA est limitée aux éléments suivants …»[23].


À tout cela s’ajoute l’omission de révéler au public ce qui n’a pas encore été couvert par les études vu la rapidité du processus :


« On ne dispose d’aucune donnée sur l’interchangeabilité du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech et d’autres vaccins contre la COVID-19 pour compléter la série de vaccination. Par conséquent, les personnes qui ont reçu une dose de Vaccin contre la COVID-19 de PfizerBioNTech devront recevoir une 2e dose de ce vaccin pour compléter leur série de vaccination.[24]

L’innocuité et l’efficacité de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech n’ont pas encore été établies chez les femmes enceintes.

On ignore si le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech est excrété dans le lait maternel chez l’humain. On ne peut toutefois exclure l’existence d’un risque pour le nouveau-né ou le nourrisson.[25]

Le pouvoir cancérogène du vaccin n’a pas été évalué, puisque la réalisation d’études de cancérogénicité n’a pas été jugée pertinente en l’occurrence.

Le pouvoir génotoxique du vaccin n’a pas été évalué, puisque la réalisation d’études de génotoxicité n’a pas été jugée pertinente en l’occurrence. [26] »


Pouvons-nous encore affirmer hors de tout doute que ces vaccins sont sécuritaires?


Coercition


Comment ne pas aborder la pression exercée sur la population afin qu’elle se fasse vacciner? Il s’agit d’une pression qui va bien au-delà de l’information et qui va à l’encontre du code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec notamment aux articles 41 et 41.1 [27], ainsi que l’article 10 du code civil du Québec.[28] Cette pression est exercée par le gouvernement, les médias et même par l’OIIQ envers ses membres.

Pourtant, sur le site de l’OIIQ, nous pouvons lire :


« Pour qu’un consentement soit considéré comme valide, il doit être libre et éclairé. Pour être considéré comme étant libre, le consentement doit être obtenu sans aucune forme de pression, de menace, de contrainte de la part du médecin, de l’équipe traitante ou des proches de la personne soignée. Il doit aussi être obtenu sans crainte de représailles.

Le consentement est dit éclairé lorsqu’il est donné en toute connaissance de cause. La personne doit recevoir toutes les informations pertinentes à sa prise de décision, de façon claire et dans un langage qu’elle comprend. Parmi ces informations : le diagnostic (si présent), la nature du traitement, l’intervention à réaliser, les avantages et les risques en lien avec l’intervention, les avantages et les risques si l’intervention n’est pas réalisée ainsi que les autres possibilités de traitement.[29]»


Rappelons ici deux articles importants du Code civil du Québec : « Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Sauf dans les cas prévus par la loi, nul ne peut lui porter atteinte sans son consentement libre et éclairé[30] » et « Nul ne peut être soumis sans son consentement à des soins, quelle qu’en soit la nature, qu’il s’agisse d’examens, de prélèvements, de traitements ou de toute autre intervention. Sauf disposition contraire de la loi, le consentement n’est assujetti à aucune forme particulière et peut être révoqué à tout moment, même verbalement[31] ». Il nous semble impératif que l’OIIQ intervienne publiquement face à ce genre de pratique et de pression gouvernementale, en promouvant le choix libre et éclairé des individus, au cœur de la pratique infirmière.


Vaccination des enfants


Une autre position de l’Ordre que nous trouvons préoccupante est celle portant sur la vaccination des enfants. Dans une des infolettres envoyées à vos membres, vous qualifiez cette stratégie comme étant « pleine d’espoir pour atteindre une couverture vaccinale globale de 75 % au sein de la population ».[32]


Les enfants ne sont pourtant pas à risque de développer des complications ou de mourir de la COVID-19[33]. Nous sommes en droit de nous questionner sur les bénéfices qu’ils retireront de cette vaccination et si les risques découlant d’une injection dont les essais cliniques ne sont pas terminés sont supérieur à ces hypothétiques bénéfices[34]. Un traitement préventif sur une population non malade se doit d’être nécessaire, efficace et inoffensif. Avant de faire la promotion d’une telle pratique, n’aurait-il pas été plus prudent d’attendre la fin des essais cliniques? Les enfants de moins de 14 ans n’étant pas aptes à prendre une décision libre et éclairée, il incombe alors aux parents de prendre la décision pour eux. De plus, l’article 21 du Code civil du Québec nous rappelle qu’« un mineur ne peut être soumis à une expérimentation qui comporte un risque sérieux pour sa santé [35]». Il va donc de soi ici de rappeler ce qu’a dit le juge Blanchard dans son jugement dans la cause d’Entrepreneurs en action du Québec : « Le risque est présent et aussi minime soit-il, il est de trop[36] ». Donc, considérant que le consentement a été extorqué chez les adultes, pouvons-nous croire qu’il en sera autrement pour les enfants?


Rappelons certaines données :


Les risques d’effets secondaires graves du vaccin Pfizer pour les 12 à 15 ans sont de 400 sur 100 000, ce qui représente 0,4% d’effets secondaires graves, incluant la mort, constatés dans l’étude Pfizer sur uniquement 2 260 enfants pendant 60 jours[37].


Le taux d’hospitalisation en raison de la COVID-19 pour les enfants de 10 à 19 ans au Québec (vague 4) est de 5 sur 100 000 et le taux de mortalité lié à la COVID-19 au Québec pour les enfants de 0 à 19 ans au Québec est de 0 sur 100 000[38].


Il est connu maintenant que les enfants et les jeunes font principalement une forme bénigne ou asymptomatique de la maladie causée par le SRAS-CoV-2[39]. Il est important de prendre en compte qu’ils courent un risque quasi nul de mourir de la COVID-19.[40] De plus, ils ne sont pas un vecteur important de la maladie[41]. Pourquoi alors les mettre en danger si rien ne justifie une telle mesure? D’un point de vue éthique, il n’est pas acceptable de mettre des enfants en danger afin de protéger les adultes, d’autant plus que le rôle des vaccins sur la transmission de la maladie est mal défini et semble assez limité. [42].


Effets indésirables

La sous-déclaration des effets indésirables du vaccin fait également partie de nos inquiétudes majeures[43].


Dans les monographies des vaccins, nous pouvons lire :


« Pour le grand public : Si vous ressentez un effet secondaire à la suite d’une vaccination, veuillez le signaler à votre professionnel de la santé. Si vous souhaitez obtenir des informations sur l’atténuation des effets secondaires, veuillez contacter votre professionnel de la santé. (…) Pour les professionnels de la santé : Si un patient ressent un effet secondaire à la suite d’une vaccination, veuillez remplir le formulaire de rapport des effets secondaires suivant l’immunisation (ESSI) approprié selon votre province ou territoire. »


Il est cependant très rare que les effets secondaires sont déclarés[44]. Ce qui est déplorable dans la situation, c’est le manque de suivi et de pharmacovigilance à la suite de l’injection, selon de multiples témoignages de travailleurs de la santé[45]. D’après l’OMS, la pharmacovigilance est « la science et les activités liées à la détection, à l'évaluation, à la compréhension et à la prévention des effets indésirables ou de tout autre problème lié aux médicaments/vaccins[46] ». Toutefois, il est très difficile de déclarer les effets secondaires[47]. Les gens ne savent pas qu’ils doivent le faire et surtout, ils ne savent pas comment. Il n’y a aucun suivi post vaccinal, que ce soit par un questionnaire en ligne ou encore par un appel téléphonique. Aucune référence n’est donnée aux gens afin de les diriger s’il advenait qu’ils aient des problèmes ou des inquiétudes. À titre d’exemple, un homme nous a confié avoir eu un problème cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale 4 jours après sa première injection. Le cardiologue qu’il a rencontré à l’hôpital lui aurait même dit qu’il était possible que son problème ait été causé par le vaccin. Mais aucune déclaration d’effet secondaire grave n’a été faite, à son grand désarroi. Très peu de liens sont faits entre l’injection et les problèmes de santé qui en découlent. Pourtant, le moindre soupçon d’un quelconque lien devrait être déclaré. Par la suite, s’il y a une corrélation à faire, les liens seront établis puisqu’une analyse est réalisée par la direction de la vigie sanitaire du ministère de la Santé[48]. Mais pour cela, il faudrait pouvoir déclarer aisément les effets indésirables. Dans un article du collectif Réinfo Covid Québec, nous pouvons lire le témoignage d’infirmières à propos des contraintes imposées par la Direction générale adjointe de la protection de la santé publique sur la déclaration des MCI (manifestations cliniques inhabituelles ou effets secondaires de la vaccination) et de la pharmacovigilance. Nous pouvons lire ceci :


« Il nous semble qu’il y a un manque de transparence implicitement imposé, par la santé publique, en lien avec les informations que nous pouvons donner aux gens. Cette restriction gêne d’emblée la transparence et le consentement libre et éclairé pour ceux qui s’interrogent sur les bénéfices/risques de la vaccination. Ensuite, nous ne pouvons pas évoquer le possible lien entre un vaccin et les effets secondaires pour lesquels nous sommes appelées. Ces vaccins sont administrés à grande échelle, mais ce n’est pas pour autant que nous disposons à ce jour d’un recul suffisant concernant leurs effets secondaires. Les directives qui nous sont imposées sont contraires au principe de précaution. »


Nous soulignons que pour l’instant, on ne parle que des effets secondaires à court terme, car nous n’avons pas encore le recul nécessaire pour évaluer les effets à moyen et à long terme. Dans la Loi sur la santé publique, nous pouvons lire que tout lien soupçonné entre un vaccin et une manifestation clinique inhabituelle doit être déclaré :

« SECTION II

DÉCLARATION DES MANIFESTATIONS CLINIQUES INHABITUELLES

69. Tout professionnel de la santé habilité à poser un diagnostic ou à évaluer l’état de santé d’une personne qui constate chez une personne qui a reçu un vaccin ou chez une personne de son entourage une manifestation clinique inhabituelle, temporellement associée à une vaccination et qui soupçonne un lien entre le vaccin et cette manifestation clinique inhabituelle, doit déclarer cette situation au directeur de santé publique du territoire dans les plus brefs délais.

Ce professionnel de la santé doit fournir le nom et le numéro d’assurance maladie de la personne chez qui il a constaté une manifestation clinique inhabituelle et le nom et le numéro d’assurance maladie de la personne qui a été vaccinée s’il ne s’agit pas de la même personne. Il doit également fournir au directeur de santé publique une brève description de l’événement constaté et tout autre renseignement prescrit par règlement du ministre. » [49]


Si nous comparons le processus de déclaration des effets secondaires des injections expérimentales contre la COVID-19 à d’autres molécules approuvées actuellement sur le marché au Canada, nous constatons qu’il y a une différence inquiétante. Prenons l’exemple de Remicade (Infliximab), qui est un médicament utilisé pour traiter un certain nombre de maladies auto-immunes. L'infliximab a été approuvé à des fins médicales aux États-Unis en 1998[50], et dans l'Union européenne en août 1999[51]. Cela fait donc plus de 20 ans qu’il a été approuvé. Pourtant, il fait l’objet d’un suivi rigoureux des effets secondaires. Au moindre changement de l’état de santé du client, l’infirmière qui l’administre se doit de remplir un formulaire de déclaration des effets indésirables[52], et ce, même si elle sait pertinemment que la molécule n’a pas causé cet effet (exemple, une fracture à la suite d’un incident précis). Toutes ces données étant soigneusement compilées, la compagnie pharmaceutique pourra par la suite établir des liens s’il y a lieu. S’il en est de même pour une molécule approuvée depuis plus de 20 ans, comment se fait-il qu’une toute nouvelle technologie vaccinale, mise en marché il y a moins d’un an, ne fasse pratiquement l’objet d’aucun suivi après son administration?


Nous estimons qu’il est primordial que ces déclarations soient minutieusement répertoriées dans le contexte où les essais cliniques de ces vaccins ne sont toujours pas terminés. Il y a par ailleurs de sérieuses lacunes à ce niveau et nous croyons que l’OIIQ devrait se pencher rapidement sur ce problème. Il est facile d’affirmer que les vaccins sont sûrs et efficaces si les effets secondaires ne sont pas consignés.


Obligation vaccinale


D’autre part, à la suite de la récente annonce du gouvernement qui consiste à rendre obligatoire la vaccination du personnel de la santé, il est impératif que l’OIIQ prenne position contre cette mesure. Même si le ministre Dubé a pour l’instant reculé sur l’application de cette mesure, nous estimons que la discrimination des membres non vaccinés ne devrait pas être endossée par l’OIIQ. L’exigence d’inoculation pour les nouveaux employés, la non-éligibilité aux primes ainsi que l’obligation de se soumettre aux 3 tests par semaine sont des mesures tout simplement coercitives et non défendables.[53] Avant d’être infirmières, nous sommes avant tout des êtres humains qui font partie intégrante du public dont vous assurez la protection. Il nous semble alors juste que l’ordre professionnel des travailleurs de la santé comptant le plus de membres au Québec se tienne debout face à la menace dont les infirmières font l’objet. Dans un premier lieu, nous n’avons trouvé aucun argument scientifique justifiant l’emploi de telles mesures, considérant qu’en plus de pouvoir contracter et transmettre la COVID-19, les personnes ayant reçu l’injection présentent aussi la même charge virale lorsqu’elles sont infectées que les non vaccinés[54]. Selon une récente étude des Centres for Disease Control :


« Bien que le test utilisé dans cette enquête n'ait pas été validé pour fournir des résultats quantitatifs, il n'y avait pas de différence significative entre les valeurs Ct des échantillons prélevés dans les cas de percée et les autres cas. Cela pourrait signifier que la charge virale des personnes vaccinées et non vaccinées infectées par le SRAS-CoV-2 est également similaire[55]. »


Cela revient à dire que la charge virale est la même. Précisons ici que :


« Les techniques analytiques de RT-PCR permettent, pour certaines, de rendre un résultat numérique semi-quantitatif appelé Ct permettant d’estimer approximativement la charge virale. Cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45 et est inversement proportionnelle à la charge virale : plus la valeur de Ct est élevée, plus la charge virale est faible. »[56]


Une étude de l’Université d’Oxford effectuée sur des travailleurs de la santé vaccinés, au Vietnam, indique par ailleurs que leur charge virale était 251 fois supérieure à celle des personnes infectées par le variant original en mars et avril 2020. L’étude concluait ceci :


« Les cas sporadiques du variant Delta sont associés à des charges virales élevées, une positivité PCR prolongée et de faibles niveaux d'anticorps neutralisants induits par le vaccin, expliquant la transmission entre les personnes vaccinées. Les mesures de distanciation physique demeurent essentielles pour réduire la transmission du variant Delta du SRAS‑CoV‑2[57]. »


Au vu de ces information, l’efficacité des vaccins quant à la transmission du COVID-19 nous apparait comme étant plutôt questionnable. Pouvons-nous vraiment nous permettre d’handicaper les équipes de soins alors qu’elles sont déjà plus que précaires[58]? Dans un souci de protection de la population, nous nous préoccupons davantage de la disponibilité des professionnels pour prodiguer des soins que de leur statut vaccinal. Bien que les infirmières non vaccinées aient accepté de se soumettre à des tests de dépistage 3 fois par semaine, les infirmières vaccinées, elles, ne sont pas soumises à cette règle. Pourtant, comme nous l’avons démontré plus haut, elles peuvent transmettre le virus tout comme leurs collègues non injectées. Pourquoi ces inégalités sont-elles tolérées? Dans un récent article de la revue médicale The Lancet, le Dr Günter Kampf, épidémiologiste hospitalier consultant et professeur agrégé d'hygiène et de médecine environnementale à l’Institut d'hygiène et de médecine environnementale de l'Université de médecine Greifswald, en Allemagne, a écrit ceci :


"Il est donc faux et dangereux de parler de pandémie de non- vaccinés. Historiquement, les États-Unis et l'Allemagne ont engendré des expériences négatives en stigmatisant certaines parties de la population pour leur couleur de peau ou leur religion. J'appelle les hauts responsables et les scientifiques à mettre un terme à la stigmatisation inappropriée des personnes non vaccinées, parmi lesquelles nos patients, collègues et autres concitoyens, et à déployer des efforts supplémentaires pour rapprocher la société".[59]


De plus, la pandémie de COVID-19 étant une problématique de santé publique, il nous semble plus qu’important d’en considérer tous les aspects. Une des notions de base lors de notre formation en soins infirmiers est l’apprentissage des déterminants de la santé. Selon l’INSPQ :


« Les déterminants de la santé désignent tous les facteurs qui influencent l’état de santé de la population, sans nécessairement être des causes directes de problèmes particuliers ou de maladies. Les déterminants de la santé sont associés aux comportements individuels et collectifs, aux conditions de vie et aux environnements. Il existe des disparités de répartition de ces déterminants entre les différents échelons de la société, engendrant ainsi des inégalités de santé. Ce gradient social de santé est relié à une distribution inégale du pouvoir, des ressources, des biens et des services. Il importe donc de prendre en compte cet enjeu lors des interventions sur l’ensemble des déterminants de la santé[60]. »


Ils se divisent en 5 catégories, dont « l’environnement économique/travail », comprenant les déterminants suivants : revenu, éducation et alphabétisme, emploi et insécurité alimentaire. En voulant priver des milliers d’infirmières et d’infirmiers de leur travail et de leur revenu, le gouvernement aurait mis leur santé et celle de leur entourage en position précaire. N’est-il pas contradictoire d’avoir voulu imposer une mesure draconienne telle que l’obligation vaccinale pour des raisons de santé publique, alors que cette même mesure met à risque la santé du public que vous protégez en le privant de personnel soignant ainsi que celle des infirmières qui auraient été suspendues et celle de leur famille?


Il importe que l’OIIQ se penche et se positionne publiquement dans les plus brefs délais sur les enjeux soulevés dans la présente lettre. Nous devons, en tant qu’infirmières, respecter les codes et les lois qui encadrent notre profession et nous sommons notre ordre professionnel de faire tout ce qui est en son pouvoir pour les faire respecter dans la situation actuelle, laquelle est de plus en plus hors de contrôle. Bien qu’il existe un décret permettant au gouvernement d’imposer ces mesures, l’OIIQ doit se prévaloir de son pouvoir d’influence auprès des décideurs. Si la situation perdure et que l’Ordre professionnel des infirmiers et infirmière du Québec ne se prononce pas pour défendre le public comme le veut sa mission, nous appréhendons les conséquences qui pourraient en découler.


Pour terminer, nous aimerions reprendre la question posée par Dominic Maurais à Luc Mathieu, président de l’OIIQ, lors d’une entrevue menée avec lui le 13 octobre dernier : « Qu’avez-vous à dire à ceux qui vont souffrir? »[61]




Signataires:



  1. Éloïse Jean, Infirmière

  2. Melissa Viau, Citoyenne

  3. Desislava Stoycheva, Infirmière

  4. Gabriela Lucaciu Onica, Infirmière première assistante en chirurgie

  5. Vicky Bezeau Corriveau, Infirmière

  6. Manon Lainesse, Infirmière clinicienne

  7. Jessica Di Giovanni, Infirmière

  8. Maryse Champagne, Infirmière

  9. Carl De Champlain, Infirmier

  10. Sandra Pauze, Infirmière

  11. Guylaine Berthelette, Infirmière

  12. Bernadine Jerlin, Infirmière

  13. Michelle Lambert, Infirmière

  14. Isabelle De Chantal, Infirmière

  15. Rita Rossi, Infirmière

  16. Céline Vin, Infirmière

  17. Ghislaine Binette, Infirmière

  18. Marie-Amélie Rolland, Infirmière

  19. Irinel Marilena Neaga Dura, Infirmière chef d'équipe

  20. Marie-Élaine Bellemare, Infirmière bachelière

  21. Daisy Mercier, Infirmière

  22. Luiza Eugenia Brinzan, Infirmière clinicienne

  23. Stéphanie Feris, Infirmière

  24. Catherine Michaud, Infirmière clinicienne

  25. Guylaine Thuot, Infirmière clinicienne

  26. Guylaine Berthelette, Infirmière

  27. Émilie Beriault, Infirmière praticienne spécialisée

  28. Julie Côté, Infirmière-psychothérapeute

  29. Catherine Jean, Infirmière

  30. Myriam Lévesque, Infirmière

  31. Sandra Gagné, Infirmière Clinicienne

  32. Carole Laurendeau, Infirmière

  33. Allyson Dumont, Infirmière

  34. Julie Lévesque, Infirmière

  35. Rachel Zecius, Infirmière

  36. Mélissa Dupuis-Bowie, Infirmière

  37. Carelle Laberge, Infirmière

  38. Josée Mallette, Infirmière clinicienne

  39. Dominique Lebeau, Infirmière

  40. Ruth Nawrocki, Infirmière

  41. Evelyne Bergeron, Infirmière

  42. Anne-Louise Boily, Infirmière

  43. Florinel Tudose, Infirmier clinicien

  44. Regis Fontaine, Infirmier

  45. Julie Boisclair, Infirmière clinicienne

  46. Nathalie Ricloux, infirmière

  47. Isabelle Fournier, Infirmière bachelière

  48. Brenda Mc Brearty, Infirmière

  49. Caroline Simard, Infirmière clinicienne

  50. Véronique Montigny, Infirmière clinicienne

  51. Marie-Claude Dubé, Infirmière

  52. Isabelle Grenier, Infirmière

  53. Stéphanie Paradis, Infirmière clinicienne

  54. Alexandra Labrecque, Infirmière clinicienne ASI

  55. Vanessa Désilets, Infirmière clinicienne

  56. Claude Lavoie, Infirmier

  57. Pascal Belanger, Infirmier

  58. Nordia German, Infirmière

  59. Patrick Goulet, Infirmier

  60. Lucie Asselin, Infirmière santé au travail

  61. Carine Duhaime, Infirmière clinicienne, mère et citoyenne

  62. Therese Parent, Infirmière clinicienne

  63. Elena Antal, Infirmière clinicienne santé mentale

  64. Nathalie Beaulieu, Enseignante infirmière

  65. Frédérique Picard, Infirmière

  66. Marie-Hélène Brown, Infirmière clinicienne en rhumatologie

  67. Isabelle Grenier, Infirmière

  68. Valerie Bouchard, Infirmière

  69. Olga Kobets, Infirmière clinicienne

  70. Julie Moisan, Infirmière clinicienne

  71. Geneviève Bluteau, Infirmière clinicienne

  72. Ginette Gougeon, Infirmière

  73. Sophie Rainville, Infirmière

  74. Claudia Tremblay, Infirmière

  75. Sylvie Bouchard, Infirmière soins à domicile

  76. Marianne Stockinger, Infirmière

  77. Isabelle Plante, Infirmière

  78. Rachel Landry, Infirmière

  79. Nancy Lemyre, Infirmière assistante chef

  80. Sonia Dion, Assistante.inf.chef

  81. Claudine Jouny, Infirmière enseignante au cégep

  82. Mylène Bélanger, Infirmière clinicienne

  83. Caroline Arguin, Infirmière

  84. Stéphanie Brûlé, Infirmière

  85. Valérie Messner, Infirmière

  86. Ada Sturzu, Infirmière

  87. Émilie Tremblay-Fiset, Infirmière

  88. Cristina Grecu, Infirmière Clinicienne

  89. Rachelle Douchin, Infirmière

  90. Ounissa Boukeroui, Infirmière

  91. Alexandra Masson, Infirmière

  92. Christiane DeGrandpré, Infirmière

  93. Manolo Navarette, Infirmière et mère

  94. Valérie Ouellet, Infirmière Clinicienne

  95. Nadine Fortin, Infirmière Clinicienne

  96. Irina Miranker, Infirmière Clinicienne

  97. Nathalie Riclou, Infirmière

  98. Karine de Chantal, Infirmière

  99. Sandra Gauthier, Infirmière

  100. Daisy Déroff, Infirmière Clinicienne

  101. Francine Ledoux, Infirmière

  102. Nicole Leroux, Infirmière retraitée

  103. Myriam Saint-Pierre, Ancienne Infirmière

  104. Huguette Dionne, Infirmière à la retraite

  105. Ghislaine Binette, Infirmière retraitée

  106. Lise Reid, Infirmière retraitée

  107. Danielle Marie St-Arnaud, Infirmière clinicienne retraitée 2015

  108. Lucille Leclaire, Infirmière retraitée

  109. Réal Pépin, Ex-infirmier, ostéopathe

  110. Linda Bourque, Infirmière retraitée, Ostéopathe

  111. Monique Michaud, Infirmière retraitée

  112. Caroline Tremblay, Infirmière auxiliaire

  113. Colette Lanthier, Infirmière auxiliaire

  114. Jenny Roy, Infirmière auxiliaire

  115. Nathalie Verville, Infirmière auxiliaire

  116. Teresa Wieczór Szczerbowicz, Infirmière auxiliaire

  117. Chantale Millette, Infirmière auxiliaire

  118. Natacha-Fee Cabot, Infirmière auxiliaire

  119. Lucie Fournier, Infirmière auxiliaire

  120. Chantale Gagnon, Infirmière auxiliaire

  121. Adéline Plante, Infirmière auxiliaire

  122. Christine Ouimet, Infirmière auxiliaire

  123. Annie Paul, Infirmière auxiliaire

  124. Marie Pierre Dumont Gallant, Infirmière auxiliaire

  125. Kathleen D'Astou, Infirmière auxiliaire

  126. Natasha Plante-Diotte, Infirmière auxiliaire

  127. Isabelle Filteau, Infirmière auxiliaire

  128. Serge Trepanier, Infirmier auxiliaire

  129. Nathalie Caumartin, Infirmière auxiliaire

  130. Cynthia Cialdella, Infirmière auxiliaire

  131. Natacha Bolduc Blouin, Infirmière auxiliaire

  132. Isabelle Bernier, Infirmière auxiliaire

  133. Annie Desjardins, Infirmière auxiliaires, massothérapeute

  134. Claudette Gauthier, Infirmière auxiliaire retraitée

  135. Melanie Landry, Infirmière auxiliaire

  136. Joanie Marcotte, Infirmière auxiliaire

  137. Julie Arsenault, Infirmière auxiliaire retraitée

  138. Nancy Lavoie, Ex-infirmière auxiliaire

  139. Marilyn Larochelle, Paramédic

  140. Denis Hamel, Paramedic retraité

  141. Marie-Eve Ouellet, Inhalothérapeute

  142. Corinne Harvey, Inhalothérapeute, démissionnée en 2017

  143. Cynthia Rioux, Technologue en Imagerie Médicale

  144. Marie-Michelle Jourdain, Technologue en imagerie médicale

  145. Roxanne Côté, Technologiste médicale

  146. Valerie Bougie, Technologue en imagerie medicale

  147. Marié Danielle Balthazard, Technicienne de laboratoire retraitée

  148. Joseph Papayanatos, Technologue en radio-oncologie

  149. Chantale Gagnon, B.Sc

  150. Alexandrine Renaud, Dre en chiropratique

  151. Marion Belair, Denturologiste

  152. Denyse Dufrêne, Ostéopathe

  153. Dorothée Désormeau, Naturopathe

  154. Françoise Hasty, Sage-femme

  155. Valérie Lafrance, Psychologue jeunesse

  156. Janique Fortin, Préposée aux bénéficiaires

  157. Geneviève Guay, Préposée aux bénéficiaires

  158. Lucy Orozco, Préposée aux bénéficiaires

  159. Mélissae Réhaume, PAB

  160. Kim Delude, Préposée aux bénéficiaires

  161. Andrée Gauthier, Préposée aux bénéficiaires

  162. France Royer, Préposée aux bénéficiaires

  163. Stéphane Guay, Préposé hygiène-salubrité

  164. Marie-France Proulx, Aide à domicile

  165. Fanny Bergevin, ASSS

  166. Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé et service sociaux

  167. Manon Auger, ASSS à la retraite

  168. Véronique Sinotte, Auxiliaire santé services sociaux

  169. Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé services sociaux

  170. Sara Gauthier, Auxiliaire en santé et services sociaux

  171. Ginette Legault, Ancienne aide de service à l’hôpital

  172. Natacha Ouellet, Assistante Technique en Pharmacie

  173. Annie Philibert, Assistante technique en pharmacie

  174. Diane Lessard, Professionnelle de la santé

  175. Karine Sauvé, Assistante en réadaptation

  176. Ilona Cristiana, Physiothérapeute

  177. Celine Paradis, Hygiéniste dentaire

  178. Katia Véronic Pepin, Travailleuse sociale

  179. Mathieu Sainson-Hart, Travailleur sociale

  180. Amelie Blain-Belanger, Travailleuse sociale

  181. Antoinette Brunetti-Zizzi, Travailleuse sociale

  182. Ginette Pitre, Travailleuse sociale

  183. Farah Aït-Saïd, Travailleuse sociale

  184. Francine Lanctôt, Propriétaire résidence pour aînés

  185. Christian Landry, Psychologue

  186. Helene Boutet, Chiropraticienne

  187. Arianne Quintal, Bioéthicienne

  188. Jasmine Montplaisir, Technicienne travail sociale

  189. Yves-Robert Liar, Masseur kinésithérapeute

  190. Isabelle Gendron, Massothérapeute, homéopathe

  191. Josée Lachance, Chercheuse

  192. Danièle M Verdi, Massothérapeute

  193. Francine Beauchamp, Intervenante en techniques douces de santé globale

  194. Marie Corbeil, Intervenante de milieu

  195. Shella Cavallaro, Intervenante

  196. Julie Morel

  197. Richard Langlois, Entrepreneur et directeur de 2 entreprises distinctes

  198. Nancy Dion

  199. Louise Kanemy, Citoyenne

  200. Lyne Touchette

  201. Aurélie Jobard, Orthophoniste et mère

  202. Nancy Savaria, Coiffeuse CHSLD

  203. Marie-Claude Bussiere, Agente Administrative en Centre Hospitalier

  204. Geneviève Leclerc, Secrétaire médicale

  205. Josée Houde, Agente administrative CIUSSS

  206. Nathalie, Lapierre, Psa

  207. Sylvie Gareau, Naturothérapeute, propriétaire d'un centre de santé

  208. Véronique Bourbeau, Naturopathe

  209. Geneviève Guerin, Thérapeute

  210. Maryse Grenier, Massothérapeute, Accompagne l'humain, palliatifs/fin de vie

  211. Marie-Gabrielle Lamoureux, Propriétaire d'entreprise

  212. Linda Servant, Restauratrice

  213. Nancy Harel, Éducatrice CPE

  214. Albertine Henley, Monitrice Spécialisée

  215. Josée Leclair, TESJosée Leclair, TES

  216. Line Thiffault, P.E.H.

  217. Florence Pez, Enseignante

  218. Manouanne Hamel Boisclair, Psychologue et citoyenne

  219. Sylvain Dubé, Pompier

  220. Véronique Côté Breton, Microbiologiste

  221. Patrick Provost, Professeur titulaire, Université Laval

  222. Jean-Pascal Vesin, B.Sc. M.Sc. (Sciences biologiques)

  223. Florence Vinit, Psychologue et citoyenne

  224. Nathalie Langlois, Agente administrative

  225. Diane Fortin, Citoyenne

  226. Jocelyne Chagnon, Citoyenne

  227. Pierre-Marc Gauvin, Parent

  228. Line Perron, Citoyenne

  229. Michael Forbes, Citoyen

  230. Denis Gosselin, Parent

  231. Monique Majeau, Citoyenne

  232. Denis Jeanotte

  233. Marielle Clement, Citoyenne retraitée

  234. Richard Côté, Tech. en télécommunication

  235. Laurie Lavoie, Agente administrative

  236. Johanne Demers

  237. Sandra Beatriz, Citoyenne

  238. Caroline Gagnon, Ancienne P.A.B.

  239. Stéphanie Pavard

  240. Chantale Ouellet, Parent

  241. Steve Marcoux, Parent

  242. Mélanie Bellemare, Mère et citoyenne

  243. Diane Désaulniers, Citoyen

  244. Gervais Roy, Citoyen

  245. Gaby Gaulin

  246. Sylvain Dufour, Citoyen

  247. Carole Bonneau

  248. Marion Belair

  249. Genevieve Desmarais, Femme

  250. Renée Pronovost, Citoyenne

  251. Cécyle Nadeau, Citoyenne

  252. Catherine Bernard, Citoyenne et parent

  253. Sylvie Leblanc, Citoyenne, parent, spécialiste en science de l’eau

  254. Sergio Poirier, Éveilleur de Conscience

  255. Arthur Leblanc, Citoyen

  256. Sylvain Lemay, Parent

  257. Mario Lord, Citoyen

  258. Marc-André Parent

  259. Alain Bolduc, Citoyen

  260. Nathalie Deraspe, Journaliste indépendante et écrivaine

  261. Alissia Lepore, Enseignante

  262. Éric Guénette, Enseignant

  263. Dominique Moerlen, Enseignante

  264. Vicky Blanchette, Enseignante et mère

  265. Annie Benoit, Policière et maman d’une ex-infirmière

  266. Andreanne Gosselin, Citoyen -CPA, CMA

  267. Guillaume Lévesque, Ingénieur

  268. Bianca Therrien, Éducatrice spécialisée

  269. Joeë Soucy, Ph.D, ing.

  270. Melanie Bizier, Parent

  271. Marie Josée Plamondon, Citoyenne, parent, grand-parent

  272. Réal Charbonneau, Retraité

  273. Joël St-Sauveur, Citoyen et parent

  274. Serge Lapierre, Citoyen

  275. Christine St-Laurent, Parent

  276. Sylvie Amyot, Citoyenne et parent

  277. Sonia Dubé

  278. David Huot, Citoyen

  279. Danny Bizier, Mécanicien

  280. Nadia Soucy, Parent

  281. Louise Gobeil, Citoyenne

  282. Linda Soulieres, Retraitée

  283. Annick Rioux, Citoyenne

  284. Vincent Desjardins, Représentant de la loi

  285. Gaston Leblanc, Citoyen

  286. Réjeanne Lapierre, Citoyenne

  287. Danyelle Bérubé, Citoyenne

  288. Sébastien Plourde, Citoyen et parent

  289. Chantal Lapointe, Citoyenne

  290. Marjolaine Lévesque, Citoyenne

  291. Carole Gervais, Citoyenne

  292. Genie Young, Citoyenne

  293. Jean-Pierre Rivest, Citoyen

  294. Yanick Garon, Citoyen

  295. Marc Lessard, Citoyen

  296. Hélène Dupuis, Grand-mère

  297. Brigitte Bélanger, Citoyenne

  298. Bruno Bergeron,

  299. Lise Bergeron, Citoyenne

  300. Dorina Chetrusca, Parent

  301. Patricia Daigneault, Citoyen

  302. Anik Bernatchez, Citoyenne

  303. Maxime Lévesque, Citoyen

  304. Louise Beaulieu, Citoyenne

  305. Diane Bouchard, Retraitée

  306. Pascal Paradis, Citoyen

  307. Pascal Raiche, Citoyen

  308. Claude Daneault

  309. Judith Grise, Citoyenne

  310. Isabelle Marceau, Citoyenne

  311. André Boucher, Citoyen

  312. Steven Ouellet, Citoyen

  313. Jean-Claude Fortin, Citoyen

  314. Kathleen Prescott, Parent (d'un enfant vacciné 2 fois)

  315. Laurent Sioui, Citoyen

  316. Florence Duhamel, Citoyenne

  317. Mara D. Lebron, Éducatrice

  318. Caroline Laflamme, Citoyenne

  319. Inti Alexandro Ortega-Bertrand, Citoyen

  320. Diane Morneau, Retraitée

  321. Émile Tremblay

  322. Shanelle Drolet

  323. Jean-François Duperré, Manufacturier

  324. Evelyne Le Blond, Mère, citoyenne

  325. Chantale Authier, Citoyenne, amie d'un prof. de la santé

  326. Véronique Jean, Coordination logistique

  327. Daniele Landry, Citoyen

  328. Richard Aubut, Citoyen

  329. Sylvie Dussault, Citoyenne

  330. Alain Bédard, Citoyen

  331. François Bullock, Citoyen

  332. Audrey Milot, Citoyen

  333. Nancy Delude, Citoyenne

  334. Kevin Guimond, Parent

  335. Alexandre Ainmelk, Citoyen

  336. Manon Chalifoux, Citoyenne

  337. Mélissa Bernier

  338. Sabrina Lemieux, Parent

  339. Rita Rossi, RN

  340. Andréanne Dion

  341. Annie Dumais, Intervenante

  342. Jean-François Guérard, Président

  343. Joëlle Quenneville, Citoyenne

  344. Mari-Lou Poirier, Citoyenne

  345. Jessika Dusseault, Citoyen et parent

  346. Michel Lachance, Retraité

  347. Nicole Richard-Lamoureux, Citoyenne

  348. Maria Askerow, Citoyenne

  349. Marc Vigeant, Citoyen

  350. Louise Renald, Citoyenne

  351. Alice Sidorow, Citoyenne

  352. Suzie Navert, Citoyenne informée

  353. Nadejda Lakaeva, Citoyenne

  354. Sofica Hategan, Citoyenne

  355. Cloe Lacombe, Citoyenne

  356. Pauline Mongeon, Citoyenne

  357. Josée Lapré, Citoyenne

  358. Paul Morin, Citoyen

  359. Benoît Leblanc, Monteur de lignes

  360. Lynn Jodoin, Enseignante

  361. Martin St-Pierre, Citoyen

  362. Marie-Eve Guy, Parent

  363. Laurier Mercier, Citoyen et parent

  364. Johanne Lachance, Citoyenne

  365. Nancy Parent, Citoyen, parent

  366. Nancy Poulin

  367. Claudine Mayrand, Citoyenne

  368. Ghislaine Létourneau, Grand-parent

  369. Amélie Caya Houle, Conseillère communication

  370. Johanne Haineault, Citoyenne

  371. Khadija Bennani

  372. Hélène Julien, Parent

  373. Mounia Mebarki

  374. Marie-Pierre Tardif, Citoyenne

  375. Claudette Ducharme, Mère

  376. Gino Moreau, Citoyen

  377. Michel Demers, Citoyen

  378. Karine Mc Grath, Parent

  379. Steve Malouin

  380. Mehdi Mroqui, Parent

  381. Christian Lariviere, Citoyen

  382. Solange Parent, Citoyenne

  383. Rémi Arseneault, Citoyen et parent

  384. Simon Blais, Parent citoyen actif

  385. Simon Clavette, Citoyen

  386. Catherine Breton, Citoyenne

  387. Karl Fortin, Citoyen et parent

  388. Christian Drapeau, Citoyen

  389. Diane Normandeau, Retraitée

  390. Michael Dessurreault, Parent

  391. Louise Quattrocchi, Citoyenne et parent

  392. Joanie Blais, Citoyenne, ancienne membre de l'OIIQ

  393. Stéphanie Pavard, Citoyenne

  394. Charlotte Lavigne, Citoyenne

  395. Caroline Beaulé

  396. Suzanne Lafrenière, Citoyenne

  397. Maryse Cusson, Citoyenne du Québec

  398. Alyson Major, Citoyen

  399. Nicole Leroux, Citoyen

  400. Louise Lépine, Retraitée

  401. Karine Sylvain, Citoyenne

  402. Carole Godbout (Parker), Citoyenne

  403. Nathalie Racine, Agente administrative

  404. Josée Raymond, Citoyenne

  405. Iisabelle Poulio

  406. Martine Léonard, Citoyenne

  407. Johanne Labrie, Retraitée

  408. Virginie Lamontagne, Citoyenne

  409. Denis Beaulieu, Retraité de l'Etat

  410. Karine Therrien, Agente de la relations humaines

  411. Jean-Pierre Matte, Citoyen

  412. Mélanie Pare

  413. Jessica Gagnon, Citoyenne et mère

  414. Daniel Lachance

  415. Linda Duguay

  416. André Levert, Citoyen

  417. Christiane Bélanger, Éducatrice

  418. Jacinthe Messier, Enseignante

  419. Nathalie Gauthier, Mère de 4 enfants

  420. Nancy Tremblay, Technicien comptabilité

  421. Caroline Lebrun, Éducatrice Spécialisée

  422. Sylvie Chauvette, Citoyen

  423. Guy Perreault, Citoyen

  424. Fanny Bergevin, ASSS

  425. Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé et service sociaux

  426. Manon Auger, ASSS à la retraite

  427. Marie-Pier Loiselle, Ex-Préposée aux bénéficiaires

  428. Sandra Arroyave, Étudiante

  429. Louise Arbour, Citoyenne

  430. Steeve Lavoie-Canuel, Citoyen

  431. Evelyne Ducharme, Citoyen

  432. Maëgan Bilodeau, Éducatrice

  433. Patrice Thibault, Massothérapeute

  434. Petra Manuela Damico, Mamie

  435. Pascale Major

  436. Boris Lamarre, Entrepreneur

  437. Nathalie Bombardier, Hypnothérapeute

  438. Jason D’Aoust, Citoyen

  439. Manon Sanschagrin, Mère

  440. Sophie Jeanson, Agente administrative

  441. Mélanie Morin, Coordonnatrice d’activités

  442. Dany Girard, Mécanicien machines fixes en milieu hospitalier

  443. Nathalie Provost, Gestion de compte aéronautique

  444. Karine Bernard, Acheteuse contractuelle CIUSSSE

  445. Carole Teng, Massothérapeute

  446. Claude Ouellette, Citoyen

  447. Marie Jutras-Beaudoin, Citoyenne

  448. Sandrine Verzier-Lafabrie, Citoyen

  449. Alexandre Guilmette, Citoyen

  450. Eugenio Reda, Père de famille

  451. Bernard Lapointe

  452. Guylaine Jutras, Citoyenne

  453. Paulette Piccardi, Grand-mère, Retraitée

  454. François Gosselin, Citoyen

  455. Mercédes Arseneault, Citoyenne

  456. Christiane Côté, Citoyenne

  457. Francine Paradis, Citoyenne

  458. Olga Dupont, Agence de recherche

  459. Manon Larose, Retraitée

  460. M. Lévesque, Mère et citoyenne

  461. Margelaine Arseneault, Citoyenne

  462. Doris Laliberté, Citoyenne

  463. Nathalie Girard, Éducatrice

  464. Amélie Couture, Citoyenne

  465. Jean-Yves Landry, Citoyen

  466. Hélène Thibault, Québecoise

  467. Jennyfer Filion, Citoyenne

  468. Isabelle Quenneville, Citoyenne

  469. Claire Labrie, Retraitée

  470. Donna Kane, Mère, grand-mère et Physiothérapeute

  471. Marc-André Gouin, Ingénieur

  472. Caroline Nadeau, Citoyenne, sexologue et psychothérapeute

  473. Alain Rioux, Politologue

  474. Mathieu Bertrand, Citoyen

  475. Valeria Skidanova, Conseillère RH en Hôpital

  476. Lyne Calvert

  477. Hyacinthe Boutin-Groleau, Citoyen

  478. Christine Boudreau, Cadre

  479. Gisèle Mailhot, Retraitée

  480. Marco Langlois, Citoyen

  481. Nathalie Desautels

  482. Yvon Phaneuf, Citoyen

  483. Jacques Alphonso, Grand-père, citoyen

  484. Geneviève Fortier, Citoyenne et maman

  485. Andréane Charrette, Citoyenne

  486. Katryne Parenteau, Capitaine

  487. Michel Alphonso, Citoyen

  488. Jessen Alphonso

  489. Pauline Gauthier, Citoyenne

  490. Michel Gagnon, Citoyen

  491. Daniel Boisvert, Citoyen

  492. Aurelia Sirbu, Enseignante

  493. Angéline Gosselin, Parent

  494. Mélanie Ouimet, Collaboratrice en recherche

  495. Diana Arroyave

  496. Julie Taillefer

  497. Sylvain Grimart, Parent

  498. Nitsanah Benyamini, Être humain

  499. Gabriel Bourque, Citoyen

  500. Anna Testu, Attachée de recherche clinique

  501. Guylaine Roy, Proche aidant

  502. Suzanne Leblanc, Citoyen

  503. Éric Tremblay, Citoyen concerné

  504. Micheline Lepine

  505. Marie-Michele Mailloux, Citoyenne et mère

  506. Francis Noël, Parent et citoyen

  507. Susy Gagnon, Citoyenne

  508. Stéphane Dionne

  509. Guy Desrosiers, Parent et statisticien

  510. Julie Patry, Fonctionnaire fédéral

  511. Guylaine Simard

  512. Serge Beaudoin, Grand-Père

  513. Steve Grimard, Parent

  514. Linda Roy

  515. René Côté, Citoyen à la retraite

  516. Jonathan Letourneau, Citoyen

  517. Billy Taeatua, Retraité Militaire

  518. Isabelle Bergeron, Citoyenne

  519. Daniel Gagné

  520. Louis Messier, Citoyen

  521. Marie-Josée Roy, Citoyenne

  522. Kim Langlois, Enseignante

  523. Guy Richer, Citoyen

  524. Nicole Caron, Retraitée

  525. Sylvie Dussault, Citoyenne

  526. Martine D’Astous, Citoyenne

  527. Rémi Blouin

  528. Denis Blouin

  529. Mario Papineau

  530. Marie-France Thompson, Citoyenne

  531. Diane Charbonneau, Citoyenne

  532. Julie Eyelom, Massothérapeute

  533. Émilie Savard, Citoyenne

  534. Josée Dubé

  535. Jean-Pierre Perreault, Massothérapeute spécialisé anti-douleur

  536. Raymond L Gay, Parent

  537. Linda Bergogne, Citoyenne, parent

  538. Christian Roy, Citoyen et parent concerné

  539. Linda Duguay Citoyenne

  540. Patrick Gallant

  541. Yan Robert

  542. Pascale Sauvé, Citoyenne

  543. Michaël Des Landes, Citoyen

  544. Carole Lusignan, Citoyenne

  545. Laurent Godosio

  546. Diane Poirier, Citoyen

  547. Karianne Thibault-Gaudreau, Citoyenne

  548. Lise Hurd-Savaria, Naturopathe- massothérapeute- auteure-conférencière

  549. Sylvie Bernard, Conseillère santé au naturel

  550. Marie-Claude Bernard, Massothérapeute

  551. Lalatiana Razafindrabe, Citoyenne

  552. Marc Doyon, Citoyen

  553. Roger de Courcy

  554. Audrey Milot, Citoyenne

  555. Véronique Martin, Parent

  556. Emna Nouri

  557. Laurence Aubé, Amie d’infirmière

  558. Jessica Trudel-Drolet

  559. Alexandra Paré, Citoyenne

  560. Claude Lavigne, Citoyen

  561. Judith Larin, Grand-mère

  562. Marie-Line Larouche, Ex-infirmière gérontologie

  563. Evelyne Bergeron, Infirmière

  564. Jessica Tremblay-Girard PAB

  565. Lucie Grenier, Auxiliaire familiale

  566. Cynthia Nolet, Éducatrice spécialisée, scolaire








 

[1]ClinicalTrials.gov, “Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728 (30 avril 2020)

 

[2]Clinical trials.gov, “A Study to Evaluate Efficacy, Safety, and Immunogenicity of mRNA-1273 Vaccine in Adults Aged 18 Years and Older to Prevent COVID-19”, https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427 (14 juillet 2020)

 

[3]Clinical trials.gov, “Phase III Double-blind, Placebo-controlled Study of AZD1222 for the Prevention of COVID-19 in Adults”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746 (18 août 2020)

 

[4]Clinical trials.gov, “A Study of Ad26.COV2.S for the Prevention of SARS-CoV-2-Mediated COVID-19 in Adult Participants (ENSEMBLE)”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04505722 (10 août 2020)

 

[5] Gouvernement du Québec, Trousse d’outil pour vulgariser la vaccination contre la COVID-19, https://www.oiiq.org/documents/20147/1458918/Trousse_outils_vaccination_COVID19.pdf URL consulté le 2021-10-29

 

“Additionally, the FDA conducted a rigorous evaluation of the post-authorization safety surveillance data pertaining to myocarditis and pericarditis following administration of the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine and has determined that the data demonstrate increased risks, particularly within the seven days following the second dose. The observed risk is higher among males under 40 years of age compared to females and older males. The observed risk is highest in males 12 through 17 years of age. Available data from short-term follow-up suggest that most individuals have had resolution of symptoms. However, some individuals required intensive care support. Information is not yet available about potential long-term health outcomes. The Comirnaty Prescribing Information includes a warning about these risks”


 
 

[8] Pfizer, Monographie initiale, 00059114.PDF (hres.ca) , p. 11, URL disponible en avril 2021.

 

[9] Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec, a. 14.0.1, https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af (22 octobre 2015)

 

[10]Réinfo Covid Québec, Les effets secondaires de la vaccination : des infirmières témoignent, https://reinfocovid.ca/effets-secondaires-de-la-vaccination-des-infirmieres-temoignent/ (9 novembre 2021)

 

[11] Monographie de produit, ModernaTX, inc, https://vaccin-covid.canada.ca/info/pdf/covid-19-vaccine-moderna-pm-fr.pdf (12 novembre 2021)

 

[12]Légis Québec, Code civil du Québec, http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991 art. 20 et 24 (1991, à jour le 31 août 2021)

 

[13] Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec, a. 7, 7.2, 7.3 https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af (22 octobre 2015)

 

[14] ANGEL, Marcia, La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, MIEUX-ÊTRE, 2009, 317 p.

 

[15]ANGEL, Marcia, La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, MIEUX-ÊTRE, 2009, 317 p.

 

[16] GOTZSCHE, Peter C. (2015). [Traduction Fernand Turcotte], Remèdes mortels et crime organisé ― Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, Québec, Presses de l’Université Laval, 454 p. 74

 

[17]Paul D Thacker , journaliste d’ investigation, Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial”, https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635.full.print (02 novembre 2021)


"Revelations of poor practices at a contract research company helping to carry out Pfizer’s pivotal covid-19 vaccine trial raise questions about data integrity and regulatory oversight."

 

[18]René Lavigueur, « Vaccination des enfants – Les dilemmes d’un médecin de famille en temps de COVID-19 », La Presse +,https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html (26 octobre 2021)

 

[19] Conseil interprofessionnel du Québec, « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19 : Quelle liberté d’expression pour les professionnels », https://cdn.ca.yapla.com/company/CPYY3Q7Y2h7Qix1QmIl4X3Rf/asset/files/CIQ_Langlois2021_VF.pdf?fbclid=IwAR2M2tDpJ6fH4B_xc9KT33E3nFK1TitCojGg2WRaJaUZxyNDmp98puDZxOg (25 mai 2021)

 
 

[21] Jacquard, Albert, Petite Philosophie à l’usage des non-philosophes, Calmann-Lévy, 1997

 

[22] Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.1 (09 décembre 2020)

 

[23]“ FACT SHEET FOR HEALTHCARE PROVIDERS ADMINISTERING VACCINE”, Pfizer-BioNTech monograph http://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=14471 (révisé le 19 novembre 2021)

« In order to mitigate the risks of using this unapproved product under EUA and to optimize the potential benefit of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, the following items are required. Use of unapproved Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine for active immunization to prevent COVID-19 under this EUA is limited to the following»

 

[24]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.5 (09 décembre 2020)

 

[25]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.10 (09 décembre 2020)

 

[26]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p. 23 (09 décembre 2020)

 

[27]Ordre des infirmières et infirmiers du Québec,’ Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec », https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af p. 15 (22 octobre 2015)

 

[28] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 10 (1991, à jour le 31 août 2021)

 

[29]Martine Lafleur, M. Sc. inf., « A propos du consentement aux soins », https://www.oiiq.org/a-propos-du-consentement-aux-soins (20 septembre 2017)

 

[30] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 10 (1991, à jour le 31 août 2021)

 

[31] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 11 alinéa 1, (1991, à jour le 31 août 2021)

 
 

[33]INSPQ, « Taux de mortalité liée à la COVID-19 au Québec selon le groupe d’âge et le sexe », https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/age-sexe, Url consulté le 2021-11-22 American Academy of Pediatrics, “Children and COVID-19: state-level data report”, https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-covid-19-infections/children-and-covid-19-state-level-data-report/ Url consulté le 2021-11-22

 

[34] René Lavigueur, « Vaccination des enfants – Les dilemmes d’un médecin de famille en temps de COVID-19 », La Presse +, https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html (26 octobre 2021) Il est intéressant de noter que La Presse avait censuré cet article le lendemain de sa publication. L’article a été republié par la suite, après de multiples plaintes contre la censure. Voir aussi https://infolibre.ca/vaccination-au-covid-2-700-morts-dont-160-jeunes-de-12-a-17-ans-au-quebec/#_ftnref10

 

[35] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a.21 (1991, à jour le 31 août 2021)

 

[36] Cours supérieure, « Jugement sur demande d’ordonnance de sauvegarde ,Entrepreneurs en action du Québec c Procureur général du Québec 2021 QCCS 922 CANLII », https://www.canlii.org/fr/qc/qccs/doc/2021/2021qccs922/2021qccs922.html?searchUrlHash=AAAAAQAQUUNDUyA5MjIgQ0FOTElJIAAAAAAB&resultIndex=2 paragraphe 48 (19 mars 2021)

 

[37]John L. Perez, MD, MBA, MA, ”COVID_19 vaccine BNT162b2 Safety, Immunogenicity, and Efficacy in Subjects 12 –15 - years-old”, https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-05-12/02-COVID-Perez-508.pdf p.17 (12 mai 2021)

 

[38] Répartition des hospitalisations liées à la COVID-19 au Québec selon le groupe d’âge, https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/age-sexe, Url consulté le 2021-10-30

 

[39] Valérie Borde, « Le point sur la COVID-19 et les enfants », https://lactualite.com/sante-et-science/le-point-sur-la-covid-19-et-les-enfants/#statistiques (10 septembre 2021)

 

[40] Dr Paul Elias Alexander, Howard Tenenbaum, DDS, Ph.D. Parvez Dara, M.D., MBA, The Epoch Times, “Les enfants ne doivent pas être vaccinés contre la COVID-19 »,https://reinfocovid.fr/science/les-enfants-ne-doivent-pas-etre-vaccines-contre-la-covid-19/ (24 mai 2021) PubMed.gov, “Assessing the age specificity of infection fatality rates for COVID-19: systematic review, meta-analysis, and public policy implications”,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33289900/(08 décembre 2020)

 

[41]PubMed.gov, « No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020”https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32489179/ (25 mai 2020) et PubMed.gov, “ Transmission of SARS-CoV-2 in children aged 0 to 19 years in childcare facilities and schools after their reopening in May 2020, Baden-Württemberg, Germany” ,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32914746/ (25 septembre 2020)

 

[42]MedRxiv, “No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant”, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1?fbclid=IwAR1NOJJI_K3RTMqKqaw5NFbzkY0csWlLeH1LhfgbOm7NeRXwdu-6boL1tP0 (29 septembre 2021)

 

[43]Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec partie 2 », https://reinfocovid.ca/les-effets-secondaires-de-la-vaccination-au-quebec-partie-2/ (20 septembre 2021)

 

[44]Élisabeth Autret-Leca, Hawaré Cissoko, Frédérique Beau-Salinas, Annie-Pierre Jonville-Béra, « Pharmacovigilance des vaccins », LA REVUE DU PRATICIEN MÉDECINE GÉNÉRALE, http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera--Revue-du-Praticie.pdf (Novembre 2011)

 

[45]Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec partie 1», https://reinfocovid.ca/vaccination-effets-secondaires-quebec/ (11 septembre 2021)

 

[46] WHO, “What is Pharmacovigilance”,https://www.who.int/teams/regulation-prequalification/regulation-and-safety/pharmacovigilance Url consulté le 2021-11-22

 

[47] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/26/38-cas-deffets-secondaires-graves-declares-au-quebec

 

[48] Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec - Partie 2 », https://reinfocovid.ca/les-effets-secondaires-de-la-vaccination-au-quebec-partie-2/ (20 septembre 2021)

 

[49] Loi sur la santé publique :https://www.canlii.org/fr/qc/legis/lois/rlrq-c-s-2.2/derniere/rlrq-c-s-2.2.html

 

[50] Monographie infliximab :https://www.drugs.com/monograph/infliximab-infliximab-dyyb.html

 

[51]European medicines agency,Remicade: https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/remicade

 

[52] Système de déclaration d’évènements indésirables en ligne de Janssen Canada: https://www.jancanevents.com/SignIn?r=%2F

 
 

[54]The Lancet, « Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study”, https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00648-4/fulltext (28 Octobre 2021)

 

[55] CDC, “Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021”, https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7031e2.htm?s_cid=mm7031e2_w#contribAff (06 août 2021)

 

[56]Société Française de Microbiologie, « Avis relatif à l’interprétation de la valeur de Ct », https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excre%CC%81tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf (25 septembre 2020)

 
 

[58] La Presse, « Rupture de service, c’est pire que jamais »,https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2021-09-22/ruptures-de-services/c-est-pire-que-jamais.php (22 Septembre 2021)

 

 
 

[61]Radio-X, Épique: Dom détruit live le président de l’Ordre des infirmières, https://radiox.com/choi981/epique-dom-detruit-live-le-president-de-lordre-des-infirmieres/2021/10/13/46476/ (13 octobre 2021)


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