Ordre des infirmières et infirmiers du Québec
4200, rue Molson, Montréal (Québec). H1Y 4V4
Objet : Manquements à la mission de protection du public?
Madame, Monsieur,
Cette communication a pour but de donner suite au courriel envoyé par l’Ordre à ses membres en aout 2021. Ce courriel consistait en un rappel de la syndic aux infirmières et aux infirmiers du Québec de respecter au quotidien leur code de déontologie et de faire preuve d’intégrité. En tant qu’infirmières membres de l’Ordre souhaitant respecter ce code de déontologie qui est au cœur de la pratique de notre profession, nous ressentons le besoin d’émettre ce même rappel aux instances de gouvernance de l’OIIQ.
Permettez-nous de vous faire part de nos sérieuses préoccupations en lien avec l’exécution de votre mission de protection du public.
Soulignons d’abord que nous ne remettons pas en doute l’utilité de la vaccination comme moyen de promotion et de protection de la santé publique. Nous souhaitons, en revanche, à la lumière des connaissances actuelles, qu’un peu de recul soit pris sur la campagne vaccinale contre la COVID-19.
Plusieurs sujets seront soulevés. Tout d’abord, nous voulons insister sur le statut expérimental des vaccins contre la COVID-19, sur les incitatifs à la vaccination de plus en plus coercitifs ainsi que sur l’importance du consentement libre et éclairé. Ensuite, nous aborderons la vaccination des enfants et les effets secondaires des injections. Nous terminerons en abordant le sujet de l’obligation vaccinale des infirmières et infirmiers.
Thérapie expérimentale
La thérapie vaccinale proposée par l’industrie pharmaceutique est encore au stade expérimental. Les essais cliniques de Pfizer-BioNTech doivent se terminer le 2 mai 2023[1], ceux de Moderna le 27 octobre 2022[2], ceux d’AstraZeneca le 14 février 2023[3] et, enfin, ceux de Johnson & Johnson le 2 janvier 2023[4]. Il est donc clair que la population participe en ce moment à des essais cliniques, mais sans malheureusement en être informée. De plus, il s’agit non seulement de nouveaux vaccins, mais aussi d’une nouvelle technologie.
Ce qui est encore plus préoccupant dans ce contexte, c’est le peu d’information donnée à la population ainsi qu’aux divers professionnels de la santé sur ces nouvelles technologies. Force est de constater que l’information la plus accessible pour le grand public est souvent incomplète, orientée, tendancieuse ou manquante. Prenons par exemple la trousse d’information fournie par le gouvernement du Québec et que l’OIIQ a partagée à ses membres afin d’informer le public (au moment d’écrire ces lignes, cette trousse était toujours disponible sur le site du gouvernement du Québec). Nous pouvons y lire ceci : « À ce jour, aucun effet indésirable grave n’a été identifié avec les vaccins à base d’ARN. D’autres problèmes, qui n’ont aucun lien avec le vaccin, peuvent survenir par hasard[5]».
Est-il possible que cette affirmation ait été écrite de façon prématurée? Est-il possible de prétendre, hors de tout doute raisonnable, que le vaccin n’engendre aucun effet secondaire grave? Pensons seulement aux risques de thromboses, de péricardites et de myocardites clairement évoqués dans l’annonce de la Food and Drug Administration (FDA) du 23 août 2021. La FDA nous informait déjà que:
“ De plus, la FDA a mené une évaluation rigoureuse des données de surveillance de la sécurité post-autorisation concernant la myocardite et la péricardite après l'administration du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 et a déterminé que les données démontrent des risques accrus, en particulier dans les sept jours suivant la deuxième dose. Le risque observé est plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans que chez les femmes et les hommes plus âgés. Le risque observé est le plus élevé chez les hommes de 12 à 17 ans. Les données disponibles provenant d'un suivi à court terme suggèrent que la plupart des individus ont eu une résolution des symptômes. Cependant, certaines personnes ont eu besoin d'un soutien en soins intensifs. On ne dispose pas encore d'informations sur les effets potentiels sur la santé à long terme. Les informations de prescription de Comirnaty incluent un avertissement sur ces risques. [6]”
Ces informations ont été signalées et ajoutées après la prolongation de l’autorisation temporaire d’urgence des vaccins[7]. N’est-ce pas là le signe que nous continuons à découvrir l’impact de cette nouvelle technologie sur le corps humain? Nous voyons bien que les fabricants de vaccins sont encore en phase de collecte de données.
Est-il juste de penser que la trousse d’information fournie par le gouvernement québécois et diffusée par l’OIIQ manquait d’information? Peut-être direz-vous qu’au moment où cette trousse a été écrite, l’information n’était pas encore disponible. Mais le principe de précaution n’aurait-il pas dû prévaloir? N’aurait-il pas été plus juste d’informer la population de l’absence de connaissances sur les risques à long terme, comme mentionné dans les monographies de l’époque? Par exemple, dans la monographie de Pfizer, on pouvait lire ceci : « L’évaluation de l’innocuité est toujours en cours chez les participants de l’étude 2 [8]». Rappelons que selon le Code de déontologie des infirmières et infirmiers, « l’infirmière ou l’infirmier doit s’abstenir de délivrer à quiconque et pour quelque motif que ce soit un certificat de complaisance ou des informations écrites ou verbales qu’il sait erronées[9]. »
Pouvons-nous donc déduire que l’information était incomplète lorsque la majorité des Québécois ont été injectés? Dans un souci de préserver un lien de confiance entre la population et la profession infirmière, il importe de transmettre l’information la plus transparente possible au public. Comment pouvons-nous désormais répondre aux questions et aux inquiétudes d’une personne qui se sent trompée en apprenant avoir fait l’objet d’un essai clinique sans en avoir été informée? Comment justifier que des effets secondaires graves sont maintenant reconnus par les fabricants et déclarés sur les registres officiels des effets secondaires des vaccins, alors que le gouvernement et les médias ont affirmé qu’il n’y en avait pas? Comment expliquer aux gens qui sont allés consulter à la suite de manifestations cliniques inhabituelles pourquoi ils ont été ignorés alors que le vaccin est toujours en phase 3 des essais cliniques[10] ? Les nouvelles monographies qui ont vu le jour après le 16 septembre 2021 nous en apprennent un peu plus sur les effets secondaires possibles :
« De très rares cas de myocardite et/ou de péricardite à la suite de la vaccination par le SPIKEVAX ont été signalés dans le cadre de l’utilisation après l’autorisation. Ces cas se sont produits plus fréquemment après la deuxième dose et plus fréquemment chez les adolescents et les jeunes adultes. L’apparition des symptômes a généralement été observée dans les quelques jours qui suivaient l’administration du SPIKEVAX. Les données disponibles sur le suivi à court terme semblent indiquer que les symptômes disparaissent chez la plupart des personnes, mais on ne dispose pas de données sur les séquelles à long terme[11] »
.
Les personnes qui se soumettent à l’injection ne disposent que de très peu d’informations, voire aucune, sur la balance bénéfices/risques de ce nouveau traitement médical expérimental. Des personnes vaccinées avec qui nous avons discuté nous ont confirmé n’avoir jamais reçu ni signé de formulaire de consentement à l’expérimentation comme prévu aux articles 20 et 24 du Code civil du Québec[12]. La feuille informative remise après la vaccination contient très peu d’informations et aucune référence n’est donnée sur les effets secondaires graves ni sur la façon de déclarer ces événements.
Comme les vaccins sont toujours à l’étude et que pour l’instant, les données et les études sont majoritairement fournies par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes; la fiabilité et l’objectivité de ces données sont donc grandement questionnables. Il serait d’autant plus important de faire preuve d’une extrême vigilance dans notre rôle d’infirmières et infirmiers afin de donner l’information la plus juste possible et d’ainsi favoriser le consentement libre et éclairé de la population, le tout, afin de préserver le lien de confiance entre elle et nous.
Rappelons également que notre code de déontologie nous demande ceci :
"7 L’infirmière ou l’infirmier doit tenir compte de l’ensemble des conséquences prévisibles que peuvent avoir ses recherches et travaux sur la société, la vie, la sécurité et la santé des gens.
7.2. L’infirmière ou l’infirmier qui entreprend ou qui collabore à une recherche doit aviser le comité d’éthique de la recherche ou toute autre instance appropriée lorsque la recherche ou son déroulement lui semble non conforme aux principes scientifiques et aux normes éthiques généralement reconnus.
7.3. L’infirmière ou l’infirmier doit refuser ou cesser de collaborer à toute activité de recherche dont les risques pour la santé des sujets lui semblent hors de proportion par rapport aux avantages que ceux-ci pourraient retirer de la recherche ou par rapport aux avantages que la prestation de soins usuels pourrait leur procurer, le cas échéant"[13].
De plus, les citations suivantes de Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, illustrent bien le contexte délicat de la situation :
« Au cours des deux dernières décennies, l’industrie pharmaceutique s’est éloignée de son objectif initial de découvrir et de produire de nouveaux médicaments utiles. Désormais principalement une machine de marketing pour vendre des médicaments aux bénéfices douteux, cette industrie utilise sa richesse et son pouvoir pour coopter toutes les institutions qui pourraient se dresser sur son chemin, y compris le Congrès américain, la FDA, les centres médicaux universitaires et la profession médicale elle-même. [14] »
« Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou de directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. [15] »
Dans le même sens, voici une citation du professeur Peter C. Gotzsche, auteur du livre Remèdes mortels et crimes organisés :
« Toutefois, plusieurs moyens permettent à une compagnie pharmaceutique de manipuler ses essais cliniques pour garantir que les résultats seront utiles à sa force de vente, peu importe ce qu’une approche scientifique honnête aura démontré. Les manipulations sont courantes et graves au point où l’un de mes collègues a déclaré qu’on devait tenir les rapports de recherche publiés par l’industrie pour rien d’autre que des publicités pour mousser ses médicaments.[16] »
Serait-il alors exagéré de croire que certains biais auraient pu se glisser dans les données des compagnies pharmaceutiques afin de faciliter la commercialisation de leurs produits? À la lumière de ce que rapporte un article du British Medical Journal intitulé « Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d'intégrité des données dans l'essai vaccinal de Pfizer »[17], ces craintes nous semblent justifiées. Nous pouvons y lire ceci : « Les révélations de mauvaises pratiques dans une société de recherche sous contrat aidant à mener à bien l'essai pivot du vaccin covid-19 de Pfizer soulèvent des questions sur l'intégrité des données et la surveillance réglementaire. »
Malheureusement, tous les avis et toutes les données allant à l’encontre du discours unique en faveur de la vaccination sont automatiquement bannis ou censurés. On n’a qu’à penser à la récente lettre du Dr René Lavigueur dans La Presse, censurée quelques heures après sa parution[18].
En partageant à ses membres, le 2 septembre dernier, via une infolettre, le document du Conseil interprofessionnel du Québec intitulé « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19 : Quelle liberté d’expression pour les professionnels »[19], l’Ordre ne contribue-t-il pas à cette omerta? Une infirmière qui prend connaissance de cet article peut-elle se sentir autorisée à émettre une opinion ou à avoir des questionnements sur la pertinence et la justesse des positions du gouvernement et de l’OIIQ? Ce document explique clairement qu’un professionnel ne peut exprimer librement ses opinions concernant la gestion de la crise sanitaire sous peine de s’exposer à des mesures disciplinaires : « Dans cet article, nous discuterons de l’impact de la crise de la COVID-19 sur les obligations professionnelles et déontologiques et analyserons certaines décisions disciplinaires qui ont mis en cause des comportements de certains professionnels dans le contexte de la pandémie. » Dans ce même document, il est pourtant clairement mentionné ceci : « La Cour suprême rappelait que “ les valeurs mises en balance sont, d’une part, l’importance fondamentale d’une critique ouverte et même vigoureuse de nos institutions publiques et, d’autre part, la nécessité d’assurer la civilité (…) ” ». Il est difficile de savoir alors si la critique est permise ou condamnable.
Le président Luc Mathieu nous parle « d’esprit scientifique » et de « décisions professionnelles qui s’appuient sur la science » dans une vidéo envoyée par courriel aux membres de l’OIIQ le 22 octobre dernier[20]. Permettez-moi ici de préciser que la science n’est pas un dogme. L’absence de débat anéantit complètement tout le narratif qui dit s’appuyer sur la science. Comme l’a dit le généticien Albert Jacquart : « La démarche scientifique n’utilise pas le verbe croire; la science se contente de proposer des modèles explicatifs provisoires de la réalité; et elle est prête à les modifier dès qu’une information nouvelle apporte une contradiction.[21] »
Pourquoi alors empêcher les infirmières et les infirmiers, qui ont une formation scientifique avec des connaissances solides en biologie, d’émettre des questionnements, des doutes ou même des réserves sur les présents enjeux bio-psycho-sociaux découlant de la pandémie de COVID-19, et plus particulièrement sur la campagne de vaccination?
Par ailleurs, il y a un manque flagrant de transparence. Il est pourtant clairement écrit dans les monographies des produits :
« Une autorisation provisoire de l’utilisation de VACCIN CONTRE LA COVID-19 DE PFIZER-BIONTECH a été délivrée en application de l’article 5 de l’arrêté d’urgence concernant la COVID-19. Les patients doivent être avisés de la nature de l’autorisation. Cette autorisation provisoire est assortie de conditions que le détenteur de l’autorisation de mise sur le marché doit respecter afin de garantir en tout temps la qualité, l’innocuité et l’efficacité du produit [22] ».
Pourtant, comme mentionné ci-dessus, toutes les personnes que nous avons questionnées n’ont jamais été informées de cette nuance. De plus, nous n’avons jamais entendu un média en faire mention.
Il est donc juste de constater que la grande majorité ignore avoir participé à un essai clinique puisque la thérapie est toujours en phase 3. Les fabricants le soulignent pourtant clairement dans leurs documents :
«Afin d'atténuer les risques liés à l'utilisation de ce produit non approuvé dans le cadre de l'EUA et d'optimiser les avantages potentiels du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19, les éléments suivants sont requis. L'utilisation du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 non approuvé pour l'immunisation active afin de prévenir le COVID-19 dans le cadre de cet EUA est limitée aux éléments suivants …»[23].
À tout cela s’ajoute l’omission de révéler au public ce qui n’a pas encore été couvert par les études vu la rapidité du processus :
« On ne dispose d’aucune donnée sur l’interchangeabilité du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech et d’autres vaccins contre la COVID-19 pour compléter la série de vaccination. Par conséquent, les personnes qui ont reçu une dose de Vaccin contre la COVID-19 de PfizerBioNTech devront recevoir une 2e dose de ce vaccin pour compléter leur série de vaccination.[24]
L’innocuité et l’efficacité de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech n’ont pas encore été établies chez les femmes enceintes.
On ignore si le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech est excrété dans le lait maternel chez l’humain. On ne peut toutefois exclure l’existence d’un risque pour le nouveau-né ou le nourrisson.[25]
Le pouvoir cancérogène du vaccin n’a pas été évalué, puisque la réalisation d’études de cancérogénicité n’a pas été jugée pertinente en l’occurrence.
Le pouvoir génotoxique du vaccin n’a pas été évalué, puisque la réalisation d’études de génotoxicité n’a pas été jugée pertinente en l’occurrence. [26] »
Pouvons-nous encore affirmer hors de tout doute que ces vaccins sont sécuritaires?
Coercition
Comment ne pas aborder la pression exercée sur la population afin qu’elle se fasse vacciner? Il s’agit d’une pression qui va bien au-delà de l’information et qui va à l’encontre du code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec notamment aux articles 41 et 41.1 [27], ainsi que l’article 10 du code civil du Québec.[28] Cette pression est exercée par le gouvernement, les médias et même par l’OIIQ envers ses membres.
Pourtant, sur le site de l’OIIQ, nous pouvons lire :
« Pour qu’un consentement soit considéré comme valide, il doit être libre et éclairé. Pour être considéré comme étant libre, le consentement doit être obtenu sans aucune forme de pression, de menace, de contrainte de la part du médecin, de l’équipe traitante ou des proches de la personne soignée. Il doit aussi être obtenu sans crainte de représailles.
Le consentement est dit éclairé lorsqu’il est donné en toute connaissance de cause. La personne doit recevoir toutes les informations pertinentes à sa prise de décision, de façon claire et dans un langage qu’elle comprend. Parmi ces informations : le diagnostic (si présent), la nature du traitement, l’intervention à réaliser, les avantages et les risques en lien avec l’intervention, les avantages et les risques si l’intervention n’est pas réalisée ainsi que les autres possibilités de traitement.[29]»
Rappelons ici deux articles importants du Code civil du Québec : « Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Sauf dans les cas prévus par la loi, nul ne peut lui porter atteinte sans son consentement libre et éclairé[30] » et « Nul ne peut être soumis sans son consentement à des soins, quelle qu’en soit la nature, qu’il s’agisse d’examens, de prélèvements, de traitements ou de toute autre intervention. Sauf disposition contraire de la loi, le consentement n’est assujetti à aucune forme particulière et peut être révoqué à tout moment, même verbalement[31] ». Il nous semble impératif que l’OIIQ intervienne publiquement face à ce genre de pratique et de pression gouvernementale, en promouvant le choix libre et éclairé des individus, au cœur de la pratique infirmière.
Vaccination des enfants
Une autre position de l’Ordre que nous trouvons préoccupante est celle portant sur la vaccination des enfants. Dans une des infolettres envoyées à vos membres, vous qualifiez cette stratégie comme étant « pleine d’espoir pour atteindre une couverture vaccinale globale de 75 % au sein de la population ».[32]
Les enfants ne sont pourtant pas à risque de développer des complications ou de mourir de la COVID-19[33]. Nous sommes en droit de nous questionner sur les bénéfices qu’ils retireront de cette vaccination et si les risques découlant d’une injection dont les essais cliniques ne sont pas terminés sont supérieur à ces hypothétiques bénéfices[34]. Un traitement préventif sur une population non malade se doit d’être nécessaire, efficace et inoffensif. Avant de faire la promotion d’une telle pratique, n’aurait-il pas été plus prudent d’attendre la fin des essais cliniques? Les enfants de moins de 14 ans n’étant pas aptes à prendre une décision libre et éclairée, il incombe alors aux parents de prendre la décision pour eux. De plus, l’article 21 du Code civil du Québec nous rappelle qu’« un mineur ne peut être soumis à une expérimentation qui comporte un risque sérieux pour sa santé [35]». Il va donc de soi ici de rappeler ce qu’a dit le juge Blanchard dans son jugement dans la cause d’Entrepreneurs en action du Québec : « Le risque est présent et aussi minime soit-il, il est de trop[36] ». Donc, considérant que le consentement a été extorqué chez les adultes, pouvons-nous croire qu’il en sera autrement pour les enfants?
Rappelons certaines données :
Les risques d’effets secondaires graves du vaccin Pfizer pour les 12 à 15 ans sont de 400 sur 100 000, ce qui représente 0,4% d’effets secondaires graves, incluant la mort, constatés dans l’étude Pfizer sur uniquement 2 260 enfants pendant 60 jours[37].
Le taux d’hospitalisation en raison de la COVID-19 pour les enfants de 10 à 19 ans au Québec (vague 4) est de 5 sur 100 000 et le taux de mortalité lié à la COVID-19 au Québec pour les enfants de 0 à 19 ans au Québec est de 0 sur 100 000[38].
Il est connu maintenant que les enfants et les jeunes font principalement une forme bénigne ou asymptomatique de la maladie causée par le SRAS-CoV-2[39]. Il est important de prendre en compte qu’ils courent un risque quasi nul de mourir de la COVID-19.[40] De plus, ils ne sont pas un vecteur important de la maladie[41]. Pourquoi alors les mettre en danger si rien ne justifie une telle mesure? D’un point de vue éthique, il n’est pas acceptable de mettre des enfants en danger afin de protéger les adultes, d’autant plus que le rôle des vaccins sur la transmission de la maladie est mal défini et semble assez limité. [42].
Effets indésirables
La sous-déclaration des effets indésirables du vaccin fait également partie de nos inquiétudes majeures[43].
Dans les monographies des vaccins, nous pouvons lire :
« Pour le grand public : Si vous ressentez un effet secondaire à la suite d’une vaccination, veuillez le signaler à votre professionnel de la santé. Si vous souhaitez obtenir des informations sur l’atténuation des effets secondaires, veuillez contacter votre professionnel de la santé. (…) Pour les professionnels de la santé : Si un patient ressent un effet secondaire à la suite d’une vaccination, veuillez remplir le formulaire de rapport des effets secondaires suivant l’immunisation (ESSI) approprié selon votre province ou territoire. »
Il est cependant très rare que les effets secondaires sont déclarés[44]. Ce qui est déplorable dans la situation, c’est le manque de suivi et de pharmacovigilance à la suite de l’injection, selon de multiples témoignages de travailleurs de la santé[45]. D’après l’OMS, la pharmacovigilance est « la science et les activités liées à la détection, à l'évaluation, à la compréhension et à la prévention des effets indésirables ou de tout autre problème lié aux médicaments/vaccins[46] ». Toutefois, il est très difficile de déclarer les effets secondaires[47]. Les gens ne savent pas qu’ils doivent le faire et surtout, ils ne savent pas comment. Il n’y a aucun suivi post vaccinal, que ce soit par un questionnaire en ligne ou encore par un appel téléphonique. Aucune référence n’est donnée aux gens afin de les diriger s’il advenait qu’ils aient des problèmes ou des inquiétudes. À titre d’exemple, un homme nous a confié avoir eu un problème cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale 4 jours après sa première injection. Le cardiologue qu’il a rencontré à l’hôpital lui aurait même dit qu’il était possible que son problème ait été causé par le vaccin. Mais aucune déclaration d’effet secondaire grave n’a été faite, à son grand désarroi. Très peu de liens sont faits entre l’injection et les problèmes de santé qui en découlent. Pourtant, le moindre soupçon d’un quelconque lien devrait être déclaré. Par la suite, s’il y a une corrélation à faire, les liens seront établis puisqu’une analyse est réalisée par la direction de la vigie sanitaire du ministère de la Santé[48]. Mais pour cela, il faudrait pouvoir déclarer aisément les effets indésirables. Dans un article du collectif Réinfo Covid Québec, nous pouvons lire le témoignage d’infirmières à propos des contraintes imposées par la Direction générale adjointe de la protection de la santé publique sur la déclaration des MCI (manifestations cliniques inhabituelles ou effets secondaires de la vaccination) et de la pharmacovigilance. Nous pouvons lire ceci :
« Il nous semble qu’il y a un manque de transparence implicitement imposé, par la santé publique, en lien avec les informations que nous pouvons donner aux gens. Cette restriction gêne d’emblée la transparence et le consentement libre et éclairé pour ceux qui s’interrogent sur les bénéfices/risques de la vaccination. Ensuite, nous ne pouvons pas évoquer le possible lien entre un vaccin et les effets secondaires pour lesquels nous sommes appelées. Ces vaccins sont administrés à grande échelle, mais ce n’est pas pour autant que nous disposons à ce jour d’un recul suffisant concernant leurs effets secondaires. Les directives qui nous sont imposées sont contraires au principe de précaution. »
Nous soulignons que pour l’instant, on ne parle que des effets secondaires à court terme, car nous n’avons pas encore le recul nécessaire pour évaluer les effets à moyen et à long terme. Dans la Loi sur la santé publique, nous pouvons lire que tout lien soupçonné entre un vaccin et une manifestation clinique inhabituelle doit être déclaré :
« SECTION II
DÉCLARATION DES MANIFESTATIONS CLINIQUES INHABITUELLES
69. Tout professionnel de la santé habilité à poser un diagnostic ou à évaluer l’état de santé d’une personne qui constate chez une personne qui a reçu un vaccin ou chez une personne de son entourage une manifestation clinique inhabituelle, temporellement associée à une vaccination et qui soupçonne un lien entre le vaccin et cette manifestation clinique inhabituelle, doit déclarer cette situation au directeur de santé publique du territoire dans les plus brefs délais.
Ce professionnel de la santé doit fournir le nom et le numéro d’assurance maladie de la personne chez qui il a constaté une manifestation clinique inhabituelle et le nom et le numéro d’assurance maladie de la personne qui a été vaccinée s’il ne s’agit pas de la même personne. Il doit également fournir au directeur de santé publique une brève description de l’événement constaté et tout autre renseignement prescrit par règlement du ministre. » [49]
Si nous comparons le processus de déclaration des effets secondaires des injections expérimentales contre la COVID-19 à d’autres molécules approuvées actuellement sur le marché au Canada, nous constatons qu’il y a une différence inquiétante. Prenons l’exemple de Remicade (Infliximab), qui est un médicament utilisé pour traiter un certain nombre de maladies auto-immunes. L'infliximab a été approuvé à des fins médicales aux États-Unis en 1998[50], et dans l'Union européenne en août 1999[51]. Cela fait donc plus de 20 ans qu’il a été approuvé. Pourtant, il fait l’objet d’un suivi rigoureux des effets secondaires. Au moindre changement de l’état de santé du client, l’infirmière qui l’administre se doit de remplir un formulaire de déclaration des effets indésirables[52], et ce, même si elle sait pertinemment que la molécule n’a pas causé cet effet (exemple, une fracture à la suite d’un incident précis). Toutes ces données étant soigneusement compilées, la compagnie pharmaceutique pourra par la suite établir des liens s’il y a lieu. S’il en est de même pour une molécule approuvée depuis plus de 20 ans, comment se fait-il qu’une toute nouvelle technologie vaccinale, mise en marché il y a moins d’un an, ne fasse pratiquement l’objet d’aucun suivi après son administration?
Nous estimons qu’il est primordial que ces déclarations soient minutieusement répertoriées dans le contexte où les essais cliniques de ces vaccins ne sont toujours pas terminés. Il y a par ailleurs de sérieuses lacunes à ce niveau et nous croyons que l’OIIQ devrait se pencher rapidement sur ce problème. Il est facile d’affirmer que les vaccins sont sûrs et efficaces si les effets secondaires ne sont pas consignés.
Obligation vaccinale
D’autre part, à la suite de la récente annonce du gouvernement qui consiste à rendre obligatoire la vaccination du personnel de la santé, il est impératif que l’OIIQ prenne position contre cette mesure. Même si le ministre Dubé a pour l’instant reculé sur l’application de cette mesure, nous estimons que la discrimination des membres non vaccinés ne devrait pas être endossée par l’OIIQ. L’exigence d’inoculation pour les nouveaux employés, la non-éligibilité aux primes ainsi que l’obligation de se soumettre aux 3 tests par semaine sont des mesures tout simplement coercitives et non défendables.[53] Avant d’être infirmières, nous sommes avant tout des êtres humains qui font partie intégrante du public dont vous assurez la protection. Il nous semble alors juste que l’ordre professionnel des travailleurs de la santé comptant le plus de membres au Québec se tienne debout face à la menace dont les infirmières font l’objet. Dans un premier lieu, nous n’avons trouvé aucun argument scientifique justifiant l’emploi de telles mesures, considérant qu’en plus de pouvoir contracter et transmettre la COVID-19, les personnes ayant reçu l’injection présentent aussi la même charge virale lorsqu’elles sont infectées que les non vaccinés[54]. Selon une récente étude des Centres for Disease Control :
« Bien que le test utilisé dans cette enquête n'ait pas été validé pour fournir des résultats quantitatifs, il n'y avait pas de différence significative entre les valeurs Ct des échantillons prélevés dans les cas de percée et les autres cas. Cela pourrait signifier que la charge virale des personnes vaccinées et non vaccinées infectées par le SRAS-CoV-2 est également similaire[55]. »
Cela revient à dire que la charge virale est la même. Précisons ici que :
« Les techniques analytiques de RT-PCR permettent, pour certaines, de rendre un résultat numérique semi-quantitatif appelé Ct permettant d’estimer approximativement la charge virale. Cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45 et est inversement proportionnelle à la charge virale : plus la valeur de Ct est élevée, plus la charge virale est faible. »[56]
Une étude de l’Université d’Oxford effectuée sur des travailleurs de la santé vaccinés, au Vietnam, indique par ailleurs que leur charge virale était 251 fois supérieure à celle des personnes infectées par le variant original en mars et avril 2020. L’étude concluait ceci :
« Les cas sporadiques du variant Delta sont associés à des charges virales élevées, une positivité PCR prolongée et de faibles niveaux d'anticorps neutralisants induits par le vaccin, expliquant la transmission entre les personnes vaccinées. Les mesures de distanciation physique demeurent essentielles pour réduire la transmission du variant Delta du SRAS‑CoV‑2[57]. »
Au vu de ces information, l’efficacité des vaccins quant à la transmission du COVID-19 nous apparait comme étant plutôt questionnable. Pouvons-nous vraiment nous permettre d’handicaper les équipes de soins alors qu’elles sont déjà plus que précaires[58]? Dans un souci de protection de la population, nous nous préoccupons davantage de la disponibilité des professionnels pour prodiguer des soins que de leur statut vaccinal. Bien que les infirmières non vaccinées aient accepté de se soumettre à des tests de dépistage 3 fois par semaine, les infirmières vaccinées, elles, ne sont pas soumises à cette règle. Pourtant, comme nous l’avons démontré plus haut, elles peuvent transmettre le virus tout comme leurs collègues non injectées. Pourquoi ces inégalités sont-elles tolérées? Dans un récent article de la revue médicale The Lancet, le Dr Günter Kampf, épidémiologiste hospitalier consultant et professeur agrégé d'hygiène et de médecine environnementale à l’Institut d'hygiène et de médecine environnementale de l'Université de médecine Greifswald, en Allemagne, a écrit ceci :
"Il est donc faux et dangereux de parler de pandémie de non- vaccinés. Historiquement, les États-Unis et l'Allemagne ont engendré des expériences négatives en stigmatisant certaines parties de la population pour leur couleur de peau ou leur religion. J'appelle les hauts responsables et les scientifiques à mettre un terme à la stigmatisation inappropriée des personnes non vaccinées, parmi lesquelles nos patients, collègues et autres concitoyens, et à déployer des efforts supplémentaires pour rapprocher la société".[59]
De plus, la pandémie de COVID-19 étant une problématique de santé publique, il nous semble plus qu’important d’en considérer tous les aspects. Une des notions de base lors de notre formation en soins infirmiers est l’apprentissage des déterminants de la santé. Selon l’INSPQ :
« Les déterminants de la santé désignent tous les facteurs qui influencent l’état de santé de la population, sans nécessairement être des causes directes de problèmes particuliers ou de maladies. Les déterminants de la santé sont associés aux comportements individuels et collectifs, aux conditions de vie et aux environnements. Il existe des disparités de répartition de ces déterminants entre les différents échelons de la société, engendrant ainsi des inégalités de santé. Ce gradient social de santé est relié à une distribution inégale du pouvoir, des ressources, des biens et des services. Il importe donc de prendre en compte cet enjeu lors des interventions sur l’ensemble des déterminants de la santé[60]. »
Ils se divisent en 5 catégories, dont « l’environnement économique/travail », comprenant les déterminants suivants : revenu, éducation et alphabétisme, emploi et insécurité alimentaire. En voulant priver des milliers d’infirmières et d’infirmiers de leur travail et de leur revenu, le gouvernement aurait mis leur santé et celle de leur entourage en position précaire. N’est-il pas contradictoire d’avoir voulu imposer une mesure draconienne telle que l’obligation vaccinale pour des raisons de santé publique, alors que cette même mesure met à risque la santé du public que vous protégez en le privant de personnel soignant ainsi que celle des infirmières qui auraient été suspendues et celle de leur famille?
Il importe que l’OIIQ se penche et se positionne publiquement dans les plus brefs délais sur les enjeux soulevés dans la présente lettre. Nous devons, en tant qu’infirmières, respecter les codes et les lois qui encadrent notre profession et nous sommons notre ordre professionnel de faire tout ce qui est en son pouvoir pour les faire respecter dans la situation actuelle, laquelle est de plus en plus hors de contrôle. Bien qu’il existe un décret permettant au gouvernement d’imposer ces mesures, l’OIIQ doit se prévaloir de son pouvoir d’influence auprès des décideurs. Si la situation perdure et que l’Ordre professionnel des infirmiers et infirmière du Québec ne se prononce pas pour défendre le public comme le veut sa mission, nous appréhendons les conséquences qui pourraient en découler.
Pour terminer, nous aimerions reprendre la question posée par Dominic Maurais à Luc Mathieu, président de l’OIIQ, lors d’une entrevue menée avec lui le 13 octobre dernier : « Qu’avez-vous à dire à ceux qui vont souffrir? »[61]
Signataires:
Éloïse Jean, Infirmière
Melissa Viau, Citoyenne
Desislava Stoycheva, Infirmière
Gabriela Lucaciu Onica, Infirmière première assistante en chirurgie
Vicky Bezeau Corriveau, Infirmière
Manon Lainesse, Infirmière clinicienne
Jessica Di Giovanni, Infirmière
Maryse Champagne, Infirmière
Carl De Champlain, Infirmier
Sandra Pauze, Infirmière
Guylaine Berthelette, Infirmière
Bernadine Jerlin, Infirmière
Michelle Lambert, Infirmière
Isabelle De Chantal, Infirmière
Rita Rossi, Infirmière
Céline Vin, Infirmière
Ghislaine Binette, Infirmière
Marie-Amélie Rolland, Infirmière
Irinel Marilena Neaga Dura, Infirmière chef d'équipe
Marie-Élaine Bellemare, Infirmière bachelière
Daisy Mercier, Infirmière
Luiza Eugenia Brinzan, Infirmière clinicienne
Stéphanie Feris, Infirmière
Catherine Michaud, Infirmière clinicienne
Guylaine Thuot, Infirmière clinicienne
Guylaine Berthelette, Infirmière
Émilie Beriault, Infirmière praticienne spécialisée
Julie Côté, Infirmière-psychothérapeute
Catherine Jean, Infirmière
Myriam Lévesque, Infirmière
Sandra Gagné, Infirmière Clinicienne
Carole Laurendeau, Infirmière
Allyson Dumont, Infirmière
Julie Lévesque, Infirmière
Rachel Zecius, Infirmière
Mélissa Dupuis-Bowie, Infirmière
Carelle Laberge, Infirmière
Josée Mallette, Infirmière clinicienne
Dominique Lebeau, Infirmière
Ruth Nawrocki, Infirmière
Evelyne Bergeron, Infirmière
Anne-Louise Boily, Infirmière
Florinel Tudose, Infirmier clinicien
Regis Fontaine, Infirmier
Julie Boisclair, Infirmière clinicienne
Nathalie Ricloux, infirmière
Isabelle Fournier, Infirmière bachelière
Brenda Mc Brearty, Infirmière
Caroline Simard, Infirmière clinicienne
Véronique Montigny, Infirmière clinicienne
Marie-Claude Dubé, Infirmière
Isabelle Grenier, Infirmière
Stéphanie Paradis, Infirmière clinicienne
Alexandra Labrecque, Infirmière clinicienne ASI
Vanessa Désilets, Infirmière clinicienne
Claude Lavoie, Infirmier
Pascal Belanger, Infirmier
Nordia German, Infirmière
Patrick Goulet, Infirmier
Lucie Asselin, Infirmière santé au travail
Carine Duhaime, Infirmière clinicienne, mère et citoyenne
Therese Parent, Infirmière clinicienne
Elena Antal, Infirmière clinicienne santé mentale
Nathalie Beaulieu, Enseignante infirmière
Frédérique Picard, Infirmière
Marie-Hélène Brown, Infirmière clinicienne en rhumatologie
Isabelle Grenier, Infirmière
Valerie Bouchard, Infirmière
Olga Kobets, Infirmière clinicienne
Julie Moisan, Infirmière clinicienne
Geneviève Bluteau, Infirmière clinicienne
Ginette Gougeon, Infirmière
Sophie Rainville, Infirmière
Claudia Tremblay, Infirmière
Sylvie Bouchard, Infirmière soins à domicile
Marianne Stockinger, Infirmière
Isabelle Plante, Infirmière
Rachel Landry, Infirmière
Nancy Lemyre, Infirmière assistante chef
Sonia Dion, Assistante.inf.chef
Claudine Jouny, Infirmière enseignante au cégep
Mylène Bélanger, Infirmière clinicienne
Caroline Arguin, Infirmière
Stéphanie Brûlé, Infirmière
Valérie Messner, Infirmière
Ada Sturzu, Infirmière
Émilie Tremblay-Fiset, Infirmière
Cristina Grecu, Infirmière Clinicienne
Rachelle Douchin, Infirmière
Ounissa Boukeroui, Infirmière
Alexandra Masson, Infirmière
Christiane DeGrandpré, Infirmière
Manolo Navarette, Infirmière et mère
Valérie Ouellet, Infirmière Clinicienne
Nadine Fortin, Infirmière Clinicienne
Irina Miranker, Infirmière Clinicienne
Nathalie Riclou, Infirmière
Karine de Chantal, Infirmière
Sandra Gauthier, Infirmière
Daisy Déroff, Infirmière Clinicienne
Francine Ledoux, Infirmière
Nicole Leroux, Infirmière retraitée
Myriam Saint-Pierre, Ancienne Infirmière
Huguette Dionne, Infirmière à la retraite
Ghislaine Binette, Infirmière retraitée
Lise Reid, Infirmière retraitée
Danielle Marie St-Arnaud, Infirmière clinicienne retraitée 2015
Lucille Leclaire, Infirmière retraitée
Réal Pépin, Ex-infirmier, ostéopathe
Linda Bourque, Infirmière retraitée, Ostéopathe
Monique Michaud, Infirmière retraitée
Caroline Tremblay, Infirmière auxiliaire
Colette Lanthier, Infirmière auxiliaire
Jenny Roy, Infirmière auxiliaire
Nathalie Verville, Infirmière auxiliaire
Teresa Wieczór Szczerbowicz, Infirmière auxiliaire
Chantale Millette, Infirmière auxiliaire
Natacha-Fee Cabot, Infirmière auxiliaire
Lucie Fournier, Infirmière auxiliaire
Chantale Gagnon, Infirmière auxiliaire
Adéline Plante, Infirmière auxiliaire
Christine Ouimet, Infirmière auxiliaire
Annie Paul, Infirmière auxiliaire
Marie Pierre Dumont Gallant, Infirmière auxiliaire
Kathleen D'Astou, Infirmière auxiliaire
Natasha Plante-Diotte, Infirmière auxiliaire
Isabelle Filteau, Infirmière auxiliaire
Serge Trepanier, Infirmier auxiliaire
Nathalie Caumartin, Infirmière auxiliaire
Cynthia Cialdella, Infirmière auxiliaire
Natacha Bolduc Blouin, Infirmière auxiliaire
Isabelle Bernier, Infirmière auxiliaire
Annie Desjardins, Infirmière auxiliaires, massothérapeute
Claudette Gauthier, Infirmière auxiliaire retraitée
Melanie Landry, Infirmière auxiliaire
Joanie Marcotte, Infirmière auxiliaire
Julie Arsenault, Infirmière auxiliaire retraitée
Nancy Lavoie, Ex-infirmière auxiliaire
Marilyn Larochelle, Paramédic
Denis Hamel, Paramedic retraité
Marie-Eve Ouellet, Inhalothérapeute
Corinne Harvey, Inhalothérapeute, démissionnée en 2017
Cynthia Rioux, Technologue en Imagerie Médicale
Marie-Michelle Jourdain, Technologue en imagerie médicale
Roxanne Côté, Technologiste médicale
Valerie Bougie, Technologue en imagerie medicale
Marié Danielle Balthazard, Technicienne de laboratoire retraitée
Joseph Papayanatos, Technologue en radio-oncologie
Chantale Gagnon, B.Sc
Alexandrine Renaud, Dre en chiropratique
Marion Belair, Denturologiste
Denyse Dufrêne, Ostéopathe
Dorothée Désormeau, Naturopathe
Françoise Hasty, Sage-femme
Valérie Lafrance, Psychologue jeunesse
Janique Fortin, Préposée aux bénéficiaires
Geneviève Guay, Préposée aux bénéficiaires
Lucy Orozco, Préposée aux bénéficiaires
Mélissae Réhaume, PAB
Kim Delude, Préposée aux bénéficiaires
Andrée Gauthier, Préposée aux bénéficiaires
France Royer, Préposée aux bénéficiaires
Stéphane Guay, Préposé hygiène-salubrité
Marie-France Proulx, Aide à domicile
Fanny Bergevin, ASSS
Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé et service sociaux
Manon Auger, ASSS à la retraite
Véronique Sinotte, Auxiliaire santé services sociaux
Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé services sociaux
Sara Gauthier, Auxiliaire en santé et services sociaux
Ginette Legault, Ancienne aide de service à l’hôpital
Natacha Ouellet, Assistante Technique en Pharmacie
Annie Philibert, Assistante technique en pharmacie
Diane Lessard, Professionnelle de la santé
Karine Sauvé, Assistante en réadaptation
Ilona Cristiana, Physiothérapeute
Celine Paradis, Hygiéniste dentaire
Katia Véronic Pepin, Travailleuse sociale
Mathieu Sainson-Hart, Travailleur sociale
Amelie Blain-Belanger, Travailleuse sociale
Antoinette Brunetti-Zizzi, Travailleuse sociale
Ginette Pitre, Travailleuse sociale
Farah Aït-Saïd, Travailleuse sociale
Francine Lanctôt, Propriétaire résidence pour aînés
Christian Landry, Psychologue
Helene Boutet, Chiropraticienne
Arianne Quintal, Bioéthicienne
Jasmine Montplaisir, Technicienne travail sociale
Yves-Robert Liar, Masseur kinésithérapeute
Isabelle Gendron, Massothérapeute, homéopathe
Josée Lachance, Chercheuse
Danièle M Verdi, Massothérapeute
Francine Beauchamp, Intervenante en techniques douces de santé globale
Marie Corbeil, Intervenante de milieu
Shella Cavallaro, Intervenante
Julie Morel
Richard Langlois, Entrepreneur et directeur de 2 entreprises distinctes
Nancy Dion
Louise Kanemy, Citoyenne
Lyne Touchette
Aurélie Jobard, Orthophoniste et mère
Nancy Savaria, Coiffeuse CHSLD
Marie-Claude Bussiere, Agente Administrative en Centre Hospitalier
Geneviève Leclerc, Secrétaire médicale
Josée Houde, Agente administrative CIUSSS
Nathalie, Lapierre, Psa
Sylvie Gareau, Naturothérapeute, propriétaire d'un centre de santé
Véronique Bourbeau, Naturopathe
Geneviève Guerin, Thérapeute
Maryse Grenier, Massothérapeute, Accompagne l'humain, palliatifs/fin de vie
Marie-Gabrielle Lamoureux, Propriétaire d'entreprise
Linda Servant, Restauratrice
Nancy Harel, Éducatrice CPE
Albertine Henley, Monitrice Spécialisée
Josée Leclair, TESJosée Leclair, TES
Line Thiffault, P.E.H.
Florence Pez, Enseignante
Manouanne Hamel Boisclair, Psychologue et citoyenne
Sylvain Dubé, Pompier
Véronique Côté Breton, Microbiologiste
Patrick Provost, Professeur titulaire, Université Laval
Jean-Pascal Vesin, B.Sc. M.Sc. (Sciences biologiques)
Florence Vinit, Psychologue et citoyenne
Nathalie Langlois, Agente administrative
Diane Fortin, Citoyenne
Jocelyne Chagnon, Citoyenne
Pierre-Marc Gauvin, Parent
Line Perron, Citoyenne
Michael Forbes, Citoyen
Denis Gosselin, Parent
Monique Majeau, Citoyenne
Denis Jeanotte
Marielle Clement, Citoyenne retraitée
Richard Côté, Tech. en télécommunication
Laurie Lavoie, Agente administrative
Johanne Demers
Sandra Beatriz, Citoyenne
Caroline Gagnon, Ancienne P.A.B.
Stéphanie Pavard
Chantale Ouellet, Parent
Steve Marcoux, Parent
Mélanie Bellemare, Mère et citoyenne
Diane Désaulniers, Citoyen
Gervais Roy, Citoyen
Gaby Gaulin
Sylvain Dufour, Citoyen
Carole Bonneau
Marion Belair
Genevieve Desmarais, Femme
Renée Pronovost, Citoyenne
Cécyle Nadeau, Citoyenne
Catherine Bernard, Citoyenne et parent
Sylvie Leblanc, Citoyenne, parent, spécialiste en science de l’eau
Sergio Poirier, Éveilleur de Conscience
Arthur Leblanc, Citoyen
Sylvain Lemay, Parent
Mario Lord, Citoyen
Marc-André Parent
Alain Bolduc, Citoyen
Nathalie Deraspe, Journaliste indépendante et écrivaine
Alissia Lepore, Enseignante
Éric Guénette, Enseignant
Dominique Moerlen, Enseignante
Vicky Blanchette, Enseignante et mère
Annie Benoit, Policière et maman d’une ex-infirmière
Andreanne Gosselin, Citoyen -CPA, CMA
Guillaume Lévesque, Ingénieur
Bianca Therrien, Éducatrice spécialisée
Joeë Soucy, Ph.D, ing.
Melanie Bizier, Parent
Marie Josée Plamondon, Citoyenne, parent, grand-parent
Réal Charbonneau, Retraité
Joël St-Sauveur, Citoyen et parent
Serge Lapierre, Citoyen
Christine St-Laurent, Parent
Sylvie Amyot, Citoyenne et parent
Sonia Dubé
David Huot, Citoyen
Danny Bizier, Mécanicien
Nadia Soucy, Parent
Louise Gobeil, Citoyenne
Linda Soulieres, Retraitée
Annick Rioux, Citoyenne
Vincent Desjardins, Représentant de la loi
Gaston Leblanc, Citoyen
Réjeanne Lapierre, Citoyenne
Danyelle Bérubé, Citoyenne
Sébastien Plourde, Citoyen et parent
Chantal Lapointe, Citoyenne
Marjolaine Lévesque, Citoyenne
Carole Gervais, Citoyenne
Genie Young, Citoyenne
Jean-Pierre Rivest, Citoyen
Yanick Garon, Citoyen
Marc Lessard, Citoyen
Hélène Dupuis, Grand-mère
Brigitte Bélanger, Citoyenne
Bruno Bergeron,
Lise Bergeron, Citoyenne
Dorina Chetrusca, Parent
Patricia Daigneault, Citoyen
Anik Bernatchez, Citoyenne
Maxime Lévesque, Citoyen
Louise Beaulieu, Citoyenne
Diane Bouchard, Retraitée
Pascal Paradis, Citoyen
Pascal Raiche, Citoyen
Claude Daneault
Judith Grise, Citoyenne
Isabelle Marceau, Citoyenne
André Boucher, Citoyen
Steven Ouellet, Citoyen
Jean-Claude Fortin, Citoyen
Kathleen Prescott, Parent (d'un enfant vacciné 2 fois)
Laurent Sioui, Citoyen
Florence Duhamel, Citoyenne
Mara D. Lebron, Éducatrice
Caroline Laflamme, Citoyenne
Inti Alexandro Ortega-Bertrand, Citoyen
Diane Morneau, Retraitée
Émile Tremblay
Shanelle Drolet
Jean-François Duperré, Manufacturier
Evelyne Le Blond, Mère, citoyenne
Chantale Authier, Citoyenne, amie d'un prof. de la santé
Véronique Jean, Coordination logistique
Daniele Landry, Citoyen
Richard Aubut, Citoyen
Sylvie Dussault, Citoyenne
Alain Bédard, Citoyen
François Bullock, Citoyen
Audrey Milot, Citoyen
Nancy Delude, Citoyenne
Kevin Guimond, Parent
Alexandre Ainmelk, Citoyen
Manon Chalifoux, Citoyenne
Mélissa Bernier
Sabrina Lemieux, Parent
Rita Rossi, RN
Andréanne Dion
Annie Dumais, Intervenante
Jean-François Guérard, Président
Joëlle Quenneville, Citoyenne
Mari-Lou Poirier, Citoyenne
Jessika Dusseault, Citoyen et parent
Michel Lachance, Retraité
Nicole Richard-Lamoureux, Citoyenne
Maria Askerow, Citoyenne
Marc Vigeant, Citoyen
Louise Renald, Citoyenne
Alice Sidorow, Citoyenne
Suzie Navert, Citoyenne informée
Nadejda Lakaeva, Citoyenne
Sofica Hategan, Citoyenne
Cloe Lacombe, Citoyenne
Pauline Mongeon, Citoyenne
Josée Lapré, Citoyenne
Paul Morin, Citoyen
Benoît Leblanc, Monteur de lignes
Lynn Jodoin, Enseignante
Martin St-Pierre, Citoyen
Marie-Eve Guy, Parent
Laurier Mercier, Citoyen et parent
Johanne Lachance, Citoyenne
Nancy Parent, Citoyen, parent
Nancy Poulin
Claudine Mayrand, Citoyenne
Ghislaine Létourneau, Grand-parent
Amélie Caya Houle, Conseillère communication
Johanne Haineault, Citoyenne
Khadija Bennani
Hélène Julien, Parent
Mounia Mebarki
Marie-Pierre Tardif, Citoyenne
Claudette Ducharme, Mère
Gino Moreau, Citoyen
Michel Demers, Citoyen
Karine Mc Grath, Parent
Steve Malouin
Mehdi Mroqui, Parent
Christian Lariviere, Citoyen
Solange Parent, Citoyenne
Rémi Arseneault, Citoyen et parent
Simon Blais, Parent citoyen actif
Simon Clavette, Citoyen
Catherine Breton, Citoyenne
Karl Fortin, Citoyen et parent
Christian Drapeau, Citoyen
Diane Normandeau, Retraitée
Michael Dessurreault, Parent
Louise Quattrocchi, Citoyenne et parent
Joanie Blais, Citoyenne, ancienne membre de l'OIIQ
Stéphanie Pavard, Citoyenne
Charlotte Lavigne, Citoyenne
Caroline Beaulé
Suzanne Lafrenière, Citoyenne
Maryse Cusson, Citoyenne du Québec
Alyson Major, Citoyen
Nicole Leroux, Citoyen
Louise Lépine, Retraitée
Karine Sylvain, Citoyenne
Carole Godbout (Parker), Citoyenne
Nathalie Racine, Agente administrative
Josée Raymond, Citoyenne
Iisabelle Poulio
Martine Léonard, Citoyenne
Johanne Labrie, Retraitée
Virginie Lamontagne, Citoyenne
Denis Beaulieu, Retraité de l'Etat
Karine Therrien, Agente de la relations humaines
Jean-Pierre Matte, Citoyen
Mélanie Pare
Jessica Gagnon, Citoyenne et mère
Daniel Lachance
Linda Duguay
André Levert, Citoyen
Christiane Bélanger, Éducatrice
Jacinthe Messier, Enseignante
Nathalie Gauthier, Mère de 4 enfants
Nancy Tremblay, Technicien comptabilité
Caroline Lebrun, Éducatrice Spécialisée
Sylvie Chauvette, Citoyen
Guy Perreault, Citoyen
Fanny Bergevin, ASSS
Ghislaine Dorval, Auxiliaire santé et service sociaux
Manon Auger, ASSS à la retraite
Marie-Pier Loiselle, Ex-Préposée aux bénéficiaires
Sandra Arroyave, Étudiante
Louise Arbour, Citoyenne
Steeve Lavoie-Canuel, Citoyen
Evelyne Ducharme, Citoyen
Maëgan Bilodeau, Éducatrice
Patrice Thibault, Massothérapeute
Petra Manuela Damico, Mamie
Pascale Major
Boris Lamarre, Entrepreneur
Nathalie Bombardier, Hypnothérapeute
Jason D’Aoust, Citoyen
Manon Sanschagrin, Mère
Sophie Jeanson, Agente administrative
Mélanie Morin, Coordonnatrice d’activités
Dany Girard, Mécanicien machines fixes en milieu hospitalier
Nathalie Provost, Gestion de compte aéronautique
Karine Bernard, Acheteuse contractuelle CIUSSSE
Carole Teng, Massothérapeute
Claude Ouellette, Citoyen
Marie Jutras-Beaudoin, Citoyenne
Sandrine Verzier-Lafabrie, Citoyen
Alexandre Guilmette, Citoyen
Eugenio Reda, Père de famille
Bernard Lapointe
Guylaine Jutras, Citoyenne
Paulette Piccardi, Grand-mère, Retraitée
François Gosselin, Citoyen
Mercédes Arseneault, Citoyenne
Christiane Côté, Citoyenne
Francine Paradis, Citoyenne
Olga Dupont, Agence de recherche
Manon Larose, Retraitée
M. Lévesque, Mère et citoyenne
Margelaine Arseneault, Citoyenne
Doris Laliberté, Citoyenne
Nathalie Girard, Éducatrice
Amélie Couture, Citoyenne
Jean-Yves Landry, Citoyen
Hélène Thibault, Québecoise
Jennyfer Filion, Citoyenne
Isabelle Quenneville, Citoyenne
Claire Labrie, Retraitée
Donna Kane, Mère, grand-mère et Physiothérapeute
Marc-André Gouin, Ingénieur
Caroline Nadeau, Citoyenne, sexologue et psychothérapeute
Alain Rioux, Politologue
Mathieu Bertrand, Citoyen
Valeria Skidanova, Conseillère RH en Hôpital
Lyne Calvert
Hyacinthe Boutin-Groleau, Citoyen
Christine Boudreau, Cadre
Gisèle Mailhot, Retraitée
Marco Langlois, Citoyen
Nathalie Desautels
Yvon Phaneuf, Citoyen
Jacques Alphonso, Grand-père, citoyen
Geneviève Fortier, Citoyenne et maman
Andréane Charrette, Citoyenne
Katryne Parenteau, Capitaine
Michel Alphonso, Citoyen
Jessen Alphonso
Pauline Gauthier, Citoyenne
Michel Gagnon, Citoyen
Daniel Boisvert, Citoyen
Aurelia Sirbu, Enseignante
Angéline Gosselin, Parent
Mélanie Ouimet, Collaboratrice en recherche
Diana Arroyave
Julie Taillefer
Sylvain Grimart, Parent
Nitsanah Benyamini, Être humain
Gabriel Bourque, Citoyen
Anna Testu, Attachée de recherche clinique
Guylaine Roy, Proche aidant
Suzanne Leblanc, Citoyen
Éric Tremblay, Citoyen concerné
Micheline Lepine
Marie-Michele Mailloux, Citoyenne et mère
Francis Noël, Parent et citoyen
Susy Gagnon, Citoyenne
Stéphane Dionne
Guy Desrosiers, Parent et statisticien
Julie Patry, Fonctionnaire fédéral
Guylaine Simard
Serge Beaudoin, Grand-Père
Steve Grimard, Parent
Linda Roy
René Côté, Citoyen à la retraite
Jonathan Letourneau, Citoyen
Billy Taeatua, Retraité Militaire
Isabelle Bergeron, Citoyenne
Daniel Gagné
Louis Messier, Citoyen
Marie-Josée Roy, Citoyenne
Kim Langlois, Enseignante
Guy Richer, Citoyen
Nicole Caron, Retraitée
Sylvie Dussault, Citoyenne
Martine D’Astous, Citoyenne
Rémi Blouin
Denis Blouin
Mario Papineau
Marie-France Thompson, Citoyenne
Diane Charbonneau, Citoyenne
Julie Eyelom, Massothérapeute
Émilie Savard, Citoyenne
Josée Dubé
Jean-Pierre Perreault, Massothérapeute spécialisé anti-douleur
Raymond L Gay, Parent
Linda Bergogne, Citoyenne, parent
Christian Roy, Citoyen et parent concerné
Linda Duguay Citoyenne
Patrick Gallant
Yan Robert
Pascale Sauvé, Citoyenne
Michaël Des Landes, Citoyen
Carole Lusignan, Citoyenne
Laurent Godosio
Diane Poirier, Citoyen
Karianne Thibault-Gaudreau, Citoyenne
Lise Hurd-Savaria, Naturopathe- massothérapeute- auteure-conférencière
Sylvie Bernard, Conseillère santé au naturel
Marie-Claude Bernard, Massothérapeute
Lalatiana Razafindrabe, Citoyenne
Marc Doyon, Citoyen
Roger de Courcy
Audrey Milot, Citoyenne
Véronique Martin, Parent
Emna Nouri
Laurence Aubé, Amie d’infirmière
Jessica Trudel-Drolet
Alexandra Paré, Citoyenne
Claude Lavigne, Citoyen
Judith Larin, Grand-mère
Marie-Line Larouche, Ex-infirmière gérontologie
Evelyne Bergeron, Infirmière
Jessica Tremblay-Girard PAB
Lucie Grenier, Auxiliaire familiale
Cynthia Nolet, Éducatrice spécialisée, scolaire
[1]ClinicalTrials.gov, “Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728 (30 avril 2020)
[2]Clinical trials.gov, “A Study to Evaluate Efficacy, Safety, and Immunogenicity of mRNA-1273 Vaccine in Adults Aged 18 Years and Older to Prevent COVID-19”, https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427 (14 juillet 2020)
[3]Clinical trials.gov, “Phase III Double-blind, Placebo-controlled Study of AZD1222 for the Prevention of COVID-19 in Adults”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746 (18 août 2020)
[4]Clinical trials.gov, “A Study of Ad26.COV2.S for the Prevention of SARS-CoV-2-Mediated COVID-19 in Adult Participants (ENSEMBLE)”, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04505722 (10 août 2020)
[5] Gouvernement du Québec, Trousse d’outil pour vulgariser la vaccination contre la COVID-19, https://www.oiiq.org/documents/20147/1458918/Trousse_outils_vaccination_COVID19.pdf URL consulté le 2021-10-29
“Additionally, the FDA conducted a rigorous evaluation of the post-authorization safety surveillance data pertaining to myocarditis and pericarditis following administration of the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine and has determined that the data demonstrate increased risks, particularly within the seven days following the second dose. The observed risk is higher among males under 40 years of age compared to females and older males. The observed risk is highest in males 12 through 17 years of age. Available data from short-term follow-up suggest that most individuals have had resolution of symptoms. However, some individuals required intensive care support. Information is not yet available about potential long-term health outcomes. The Comirnaty Prescribing Information includes a warning about these risks”
[7] FDA Approves First COVID-19 Vaccine, https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-covid-19-vaccine (23 août 2021)
[8] Pfizer, Monographie initiale, 00059114.PDF (hres.ca) , p. 11, URL disponible en avril 2021.
[9] Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec, a. 14.0.1, https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af (22 octobre 2015)
[10]Réinfo Covid Québec, Les effets secondaires de la vaccination : des infirmières témoignent, https://reinfocovid.ca/effets-secondaires-de-la-vaccination-des-infirmieres-temoignent/ (9 novembre 2021)
[11] Monographie de produit, ModernaTX, inc, https://vaccin-covid.canada.ca/info/pdf/covid-19-vaccine-moderna-pm-fr.pdf (12 novembre 2021)
[12]Légis Québec, Code civil du Québec, http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991 art. 20 et 24 (1991, à jour le 31 août 2021)
[13] Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec, a. 7, 7.2, 7.3 https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af (22 octobre 2015)
[14] ANGEL, Marcia, La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, MIEUX-ÊTRE, 2009, 317 p.
[15]ANGEL, Marcia, La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, MIEUX-ÊTRE, 2009, 317 p.
[16] GOTZSCHE, Peter C. (2015). [Traduction Fernand Turcotte], Remèdes mortels et crime organisé ― Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, Québec, Presses de l’Université Laval, 454 p. 74
[17]Paul D Thacker , journaliste d’ investigation,” Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial”, https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635.full.print (02 novembre 2021)
"Revelations of poor practices at a contract research company helping to carry out Pfizer’s pivotal covid-19 vaccine trial raise questions about data integrity and regulatory oversight."
[18]René Lavigueur, « Vaccination des enfants – Les dilemmes d’un médecin de famille en temps de COVID-19 », La Presse +,https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html (26 octobre 2021)
[19] Conseil interprofessionnel du Québec, « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19 : Quelle liberté d’expression pour les professionnels », https://cdn.ca.yapla.com/company/CPYY3Q7Y2h7Qix1QmIl4X3Rf/asset/files/CIQ_Langlois2021_VF.pdf?fbclid=IwAR2M2tDpJ6fH4B_xc9KT33E3nFK1TitCojGg2WRaJaUZxyNDmp98puDZxOg (25 mai 2021)
[20]OIIQ, « Pourquoi la vaccination des infirmières est-elle essentielle? » https://www.oiiq.org/pourquoi-la-vaccination-des-infirmieres-et-infirmiers-est-elle-essentielle?inheritRedirect=true&redirect=%2F&c_rid=680h14xg019zpODmadg-382900163%7C54788193&utm_campaign=702933&utm_medium=email&utm_source=oiiq&utm_content=DW&symid=268494801 (22 octobre 2021)
[21] Jacquard, Albert, Petite Philosophie à l’usage des non-philosophes, Calmann-Lévy, 1997
[22] Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.1 (09 décembre 2020)
[23]“ FACT SHEET FOR HEALTHCARE PROVIDERS ADMINISTERING VACCINE”, Pfizer-BioNTech monograph http://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=14471 (révisé le 19 novembre 2021)
« In order to mitigate the risks of using this unapproved product under EUA and to optimize the potential benefit of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, the following items are required. Use of unapproved Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine for active immunization to prevent COVID-19 under this EUA is limited to the following…»
[24]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.5 (09 décembre 2020)
[25]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p.10 (09 décembre 2020)
[26]Pfizer Canada SRI. « Monographie de Vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech (vaccin à ARNm contre la COVID-19) », https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059114.PDF p. 23 (09 décembre 2020)
[27]Ordre des infirmières et infirmiers du Québec,’ Code de déontologie des infirmières et infirmiers du Québec », https://www.oiiq.org/documents/20147/1456160/code-deonto-fr-Web_0.pdf/7ab21a61-041a-92b4-f4a6-3c9c705808af p. 15 (22 octobre 2015)
[28] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 10 (1991, à jour le 31 août 2021)
[29]Martine Lafleur, M. Sc. inf., « A propos du consentement aux soins », https://www.oiiq.org/a-propos-du-consentement-aux-soins (20 septembre 2017)
[30] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 10 (1991, à jour le 31 août 2021)
[31] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a. 11 alinéa 1, (1991, à jour le 31 août 2021)
[32] OIIQ, « COVID-19: vaccination des adolescents au Québec », https://www.oiiq.org/covid-19-vaccination-des-enfants-au-quebec?c_rid=680h14xg019ldmEqadg-526632877%7C52575068&utm_campaign=683025&utm_medium=email&utm_source=oiiq&utm_content=DW&symid=268494801 (04 juin 2021)
[33]INSPQ, « Taux de mortalité liée à la COVID-19 au Québec selon le groupe d’âge et le sexe », https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/age-sexe, Url consulté le 2021-11-22 American Academy of Pediatrics, “Children and COVID-19: state-level data report”, https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-covid-19-infections/children-and-covid-19-state-level-data-report/ Url consulté le 2021-11-22
[34] René Lavigueur, « Vaccination des enfants – Les dilemmes d’un médecin de famille en temps de COVID-19 », La Presse +, https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html (26 octobre 2021) Il est intéressant de noter que La Presse avait censuré cet article le lendemain de sa publication. L’article a été republié par la suite, après de multiples plaintes contre la censure. Voir aussi https://infolibre.ca/vaccination-au-covid-2-700-morts-dont-160-jeunes-de-12-a-17-ans-au-quebec/#_ftnref10
[35] Légis Québec ,« Code civil du Québec », http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991, a.21 (1991, à jour le 31 août 2021)
[36] Cours supérieure, « Jugement sur demande d’ordonnance de sauvegarde ,Entrepreneurs en action du Québec c Procureur général du Québec 2021 QCCS 922 CANLII », https://www.canlii.org/fr/qc/qccs/doc/2021/2021qccs922/2021qccs922.html?searchUrlHash=AAAAAQAQUUNDUyA5MjIgQ0FOTElJIAAAAAAB&resultIndex=2 paragraphe 48 (19 mars 2021)
[37]John L. Perez, MD, MBA, MA, ”COVID_19 vaccine BNT162b2 Safety, Immunogenicity, and Efficacy in Subjects 12 –15 - years-old”, https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-05-12/02-COVID-Perez-508.pdf p.17 (12 mai 2021)
[38] Répartition des hospitalisations liées à la COVID-19 au Québec selon le groupe d’âge, https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/age-sexe, Url consulté le 2021-10-30
[39] Valérie Borde, « Le point sur la COVID-19 et les enfants », https://lactualite.com/sante-et-science/le-point-sur-la-covid-19-et-les-enfants/#statistiques (10 septembre 2021)
[40] Dr Paul Elias Alexander, Howard Tenenbaum, DDS, Ph.D. Parvez Dara, M.D., MBA, The Epoch Times, “Les enfants ne doivent pas être vaccinés contre la COVID-19 »,https://reinfocovid.fr/science/les-enfants-ne-doivent-pas-etre-vaccines-contre-la-covid-19/ (24 mai 2021) PubMed.gov, “Assessing the age specificity of infection fatality rates for COVID-19: systematic review, meta-analysis, and public policy implications”,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33289900/(08 décembre 2020)
[41]PubMed.gov, « No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020”https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32489179/ (25 mai 2020) et PubMed.gov, “ Transmission of SARS-CoV-2 in children aged 0 to 19 years in childcare facilities and schools after their reopening in May 2020, Baden-Württemberg, Germany” ,https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32914746/ (25 septembre 2020)
[42]MedRxiv, “No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant”, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1?fbclid=IwAR1NOJJI_K3RTMqKqaw5NFbzkY0csWlLeH1LhfgbOm7NeRXwdu-6boL1tP0 (29 septembre 2021)
[43]Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec partie 2 », https://reinfocovid.ca/les-effets-secondaires-de-la-vaccination-au-quebec-partie-2/ (20 septembre 2021)
[44]Élisabeth Autret-Leca, Hawaré Cissoko, Frédérique Beau-Salinas, Annie-Pierre Jonville-Béra, « Pharmacovigilance des vaccins », LA REVUE DU PRATICIEN MÉDECINE GÉNÉRALE, http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera--Revue-du-Praticie.pdf (Novembre 2011)
[45]Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec partie 1», https://reinfocovid.ca/vaccination-effets-secondaires-quebec/ (11 septembre 2021)
[46] WHO, “What is Pharmacovigilance”,https://www.who.int/teams/regulation-prequalification/regulation-and-safety/pharmacovigilance Url consulté le 2021-11-22
[47] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/26/38-cas-deffets-secondaires-graves-declares-au-quebec
[48] Anne-Hélène Jutras, « Les effets secondaires de la vaccination au Québec - Partie 2 », https://reinfocovid.ca/les-effets-secondaires-de-la-vaccination-au-quebec-partie-2/ (20 septembre 2021)
[49] Loi sur la santé publique :https://www.canlii.org/fr/qc/legis/lois/rlrq-c-s-2.2/derniere/rlrq-c-s-2.2.html
[50] Monographie infliximab :https://www.drugs.com/monograph/infliximab-infliximab-dyyb.html
[51]European medicines agency,Remicade: https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/remicade
[52] Système de déclaration d’évènements indésirables en ligne de Janssen Canada: https://www.jancanevents.com/SignIn?r=%2F
[53]La Presse, “Québec renonce à la vaccination obligatoire” https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-11-03/travailleurs-de-la-sante/quebec-renonce-a-la-vaccination-obligatoire.php?fbclid=IwAR1Qf6b1EpKJ-AOdEYeZlyNsjrC_tA_beXO88q1j1yHX8PmfsCZdzOSnMJc (03 Novembre 2021)
[54]The Lancet, « Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study”, https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00648-4/fulltext (28 Octobre 2021)
[55] CDC, “Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021”, https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7031e2.htm?s_cid=mm7031e2_w#contribAff (06 août 2021)
[56]Société Française de Microbiologie, « Avis relatif à l’interprétation de la valeur de Ct », https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excre%CC%81tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf (25 septembre 2020)
[57]SSRN, “Transmission of SARS-CoV-2 Delta Variant Among Vaccinated Healthcare Workers, Vietnam”, https://poseidon01.ssrn.com/delivery.php?ID=731070114084107019112030095021089127026062071092084057031120010047123113006006103041082119112024083004126094097018001103090124019062124036099082121024082066065000028013064089020125127080114024022013025003061050049094091017123087009007029065103000023113109106021085124113091095084092118080111&EXT=pdf&INDEX=TRUE (11 octobre 2021)
[58] La Presse, « Rupture de service, c’est pire que jamais »,https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2021-09-22/ruptures-de-services/c-est-pire-que-jamais.php (22 Septembre 2021)
Radio-Canada, « Une infirmière assujettie au TSO malgré une infection », https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1835852/heures-supplementaires-obligatoires-tso-infirmieremalade?fbclid=IwAR1IhGDdNZ7UNU_ng6WI8NJ3rWgHXbICJKLF1lybM7th_hklS6P7PtjdwKA (30 Octobre 2021)
[59]The Lancet, “COVID-19: stigmatising the unvaccinated is not justified”, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02243-1/fulltext?fbclid=IwAR08CqEtJp033pmlhi7w3ed0wSt3YbEgfD6E5HauzWItOZhPxtCky4P3bmI#%20 (20 Novembre 2021)
[60] INSPQ, “Déterminants de la santé” https://www.inspq.qc.ca/exercer-la-responsabilite-populationnelle/determinants-de-la-sante (18 Septembre 2017)
[61]Radio-X, Épique: Dom détruit live le président de l’Ordre des infirmières, https://radiox.com/choi981/epique-dom-detruit-live-le-president-de-lordre-des-infirmieres/2021/10/13/46476/ (13 octobre 2021)
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